Les coquineries de Karine, bisexuelle

      J'avais 14 ans. Nous allions tous les ans en vacances chez nos cousins. Christophe avait 19 ans et j'avais décidé ce jour là d'être dépucelée par ce beau garçon qui me plaisait depuis plusieurs années.
      Au cours d'une ballade, nous sommes passés devant une grange dans laquelle étaient empilés des sacs de grains. Je l'ai entraîné vers cette grange et nous nous sommes allongés sur les sacs. Tout de suite, Christophe se mit à m'embrasser, sur les épaules, le visage, la bouche... J'étais chauffée à blanc et gonflée d'intrépidité. Je savais ce que je voulais et j'allais enfin l'obtenir, j'en étais sûre. Il a ouvert ma robe et me pétrissait les seins, caressant les pointes puis les prenant dans sa bouche. J'ouvrais les lèvres en geignant de plaisir. Je n'avais encore rien éprouvé de pareil. C'était merveilleux, extraordinaire. Je l'entourais de mes bras tandis qu'il me couchait sous lui, finissant de me déshabiller, puis baissa son pantalon et son caleçon pour dégager son engin.
      Il bandait et sa queue raide m'impressionnait : c'était la première que je voyais, elle me paraissait énorme. J'avançai la main pour la toucher. Elle était chaude, dure, et semblait vibrer de l'intérieur comme si elle avait un propre coeur qui battait dedans. C'était vivant, ça bougeais sous mes doigts, j'étais dans tous mes états ! J'étais jeune, mais j'étais déjà bien développée et j'avais déjà une belle touffe de poils blonds doré sur ma petite chatte encore vierge, mais plus pour longtemps !
      Christophe promena lentement ses doigts sur les lèvres humides de mon sexe trempé, puis plus vite, roulant entre le pouce et l'index mon bouton d'amour. J'ai dû mordre dans un sac pour ne pas crier. C'était trop bon, mais je ne voulais pas jouir avant d'avoir été pénétrée par son engin. Il frotta enfin son gland bleuté au bord de mon trou. Je criai :
- Oui ! Oui ! Mets-la-moi ! Je la veux ! Maintenant !.
      D'un coup de reins, il me pénétra en force. Je n'ai même pas eu mal. J'étais si mouillée d'excitation ! Il faut dire aussi qu'il y avait belle lurette que ma membrane était partie sous l'action d'un goulot de bouteille ou le manche d'une brosse ! Mais c'était ma première queue, et, putain, qu'est-ce que c'était bon ! J'étais remplie par sa bite qui me fouillait, il allait et venait en moins en grognant, se maintenant sur les avant-bras pour me pénétrer bien à fond.
      Ca n'a pas traîné : nous avons joui tous les deux en même temps, et ce fût encore une nouvelle sensation : d'abord, je sentais mieux que jamais les contractions de mon vagin autour de ce sexe qui me transperçait, puis, quand il a éjaculé, j'ai senti son jus me remplir par saccades. C'était si nouveau, si fort que je faillis m'évanouir.
      Puis il s'est écroulé contre moi et me murmura à l'oreille : "Je t'aime"...
Ven 26 jan 2007 2 commentaires

Salut Karine


Je decouvre ton site , tu me plait beaucoup, Tu est ravissante et tes histoires tres erotiques .J adore .....de bonnes branlettes en perspective....en te regardant à defaut de te toucher....Ton ami a beaucoup de chance d avoir une femme qui aime les plaisirs du sexe

robert - le 23/04/2007 à 19h13
salut j'ai vu ton blog et tes aventures
et j'aimerai en lire encore et encore jtrouve ca excitant.
et te connaitre j'habite a grenoble et je me ferai un plaisir de parler avec toi.
sai-ya@hotmail.fr
saya - le 06/08/2008 à 18h41