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Souvenirs

Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 11:34
     Nous étions en vacances aux Antilles. Ce matin-là, dans le grand lit de notre chambre d'hôtel, nous attendions notre petit-déjeuner et, pour patienter, je caressais le sexe de mon amant. Il bandait dur et sa queue vibrait dans ma main. N'y tenant plus, je plongeais sous les draps pour la prendre en bouche. Je le suçais amoureusement quand on frappa à la porte de la chambre. Je sortis rapidement de sous les draps.
      - C'est le petit déjeuner !
      - Entrez !
      Une jeune métisse fit son apparition. Elle était splendide avec sa petite robe noire et son tablier blanc.
      - Où dois-je poser le plateau, s'il vous plaît ?
      - Ici, répondit Christophe en désignant une tablette devant la fenêtre.
      Sans aucune gêne, il obligeait ainsi la jeune fille à contourner le lit. Elle posa le plateau et demanda si nous désirions autre chose. Son regard se posa discrètement sur la bosse que formait sous les draps la bite de Christophe. Je posais alors mes doigts autour de l'excroissance pour mieux la mettre en évidence.
      - Tu veux la voir ? Tu veux voir la queue de monsieur ?
      Elle rougit et bredouilla :
      - Madame, je ne sais pas... Je...
      Je baissais les draps et exhibais fièrement la tige de chair dans ma main.
      - Approche. Comment t'appelles-tu ?
      - So... Sonia, Madame...
      - Viens Sonia. N'aies pas peur. Tiens, prends-là, je te l'offre.
      Timidement, elle s'avança au bord du lit. Je la fis s'asseoir et pris sa main pour la poser sur la queue dressée. Rapidement, elle prit confiance et commença une lente masturbation qui comblait de plaisir mon compagnon. Je caressais les jambes gainées de Nylon blanc de la fille en la regardant faire. Cela ne sembla pas la déranger, au contraire. Ses cuisses s'écartaient légèrement comme pour m'inviter à une caresse plus précise, tandis que ses yeux noirs étaient fixés sur le bâton de Christophe. Elle le branlait lentement, faisant jaillir le gland gonflé entre ses doigts.
      - Suce-le, lui dis-je, très excitée par le spectacle. Il adore qu'on lui suce la queue.
      Elle ne se fit pas prier et plongea sur la tige raidie, basculant du même coup en travers du lit. Elle goba le gland bleuté tandis que je plongeais entre ses cuisses, remontant très haut la robe, découvrant un sexe nu encadré par un porte-jarretelles du même blanc que ses bas. Ses lèvres roses ressortaient sur la peau mate. Je me mis à lécher ce sexe offert tandis que Christophe gémissait sous la fellation qu'elle lui prodiguait. Je pompais son clitoris en enfonçant deux doigts dans sa chatte trempée. Sonia jouit rapidement, et Christophe sortit sa queue de sa bouche pour lui ordonner de se déshabiller entièrement. Une fois la fille nue, il la fît s'installer à quatre patte sur le lit, me faisant signe de m'installer devant elle. J'écartais au maximum les cuisses tout en écartant les lèvres de mon sexe et lui pria de me rendre les caresses que je lui avais données. Elle se mit donc à me lécher à son tour. Sa langue fouillait mon sexe humide et elle branlait habilement mon bouton avec son nez. Soudain, elle se cabra : Christophe s'était placé derrière elle et l'avait pénétrée brutalement. Il la pilonnait en grognant de plaisir. Je lui saisis le visage que j'enfouis entre mes cuisses et elle reprit son ouvrage. Sa langue semblait être partout à la fois, tantôt sur mes lèvres gonflées de désir, tantôt au fond de mon sexe. Enfin, elle jouit une seconde fois sous les coups de bite de mon amant, tandis que je jouissais également. Christophe présenta alors sa queue luisante devant nos visage et, secouant vigoureusement la hampe, éjacula sur nous. Les jets de sperme, d'un blanc laiteux sur le visage bronzé de la fille ressortaient admirablement et je la léchais avant de plonger ma langue dans sa bouche. Nos langues se mêlaient dans un bain de foutre.
      Après s'être rajustée, elle quitta la chambre sans un mot, peut-être gênée de s'être ainsi donnée à nous. Nous prîmes notre petit déjeuner froid. Plus tard, nous l'avons revue et nous avons plusieurs fois remis ça. Elle a même pleuré quand nous avons quitté l'hôtel. Mais au fond, je lui faisais confiance pour trouver un autre couple complaisant...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Samedi 27 janvier 6 27 /01 /Jan 17:20
      Après des études pour devenir vendeuse, j'ai réussi à me dénicher une place dans une charmante petite boutique de vêtements. J'étais dans une ville près de chez moi et le magasin était très bien situé et dirigé par une très charmante dame de dix ans mon aînée.

      Le stage devait s'étirer sur trois semaines en début d'été. Je me faisais un devoir d'être ponctuelle et très aimable avec les clients et clientes. Ma patronne faisait tout pour me mettre à l'aise et faciliter mon stage, j'étais emballée. La première semaine fut consacrée à la découverte des habitudes de la maison. Après une semaine à être à l'écoute de Julie (le prénom de ma patronne), j'étais beaucoup plus à l'aise avec les tâches que je devais effectuer et avec la clientèle du magasin.

      Le mercredi de la deuxième semaine fut spécial pour moi. Lorsque j'avais du temps libre, je me promenais dans le magasin et regardais les vêtements pour moi. J'avais vu une belle jupe noire moulante qui me plaisait beaucoup et faisait ressortir le galbe de mes jambes. Avec une blouse à manches courtes, je me trouvais très attirante. Julie a remarqué mon désir de posséder ces vêtements, me regardant encore les prendre et vérifier les tailles.
- Tu aimes ces vêtements, Karine ?
- Oui, je les trouve très sexy ! Ils devraient beaucoup plaire à mon ami !
- Tu veux les essayer ?
- Avec plaisir !

      Mais des clients sont entrés et j'ai du remettre ma séance d'essayage à plus tard. A la fin de la journée Julie est venu me voir avec dans ses mains les vêtements que je convoitais.
- Tiens, prends le temps de faire l'essayage pendant que je ferme la boutique.

      Je me dirigeai vers la salle d'essayage et lentement me dévêtit pour enfiler la jupe et la blouse. Je me regardais dans le miroir quand j'entendis une voix qui me disait :
- Tu peux sortir, que je vois moi aussi l'effet de ces vêtements sur toi !

      J'ouvris la porte et sortis devant Julie. Elle me regardait des pieds à la tête... L'insistance de son regard me fit rougir, mélange de gêne et de confuse excitation.

      Julie s'approcha et me fit tourner devant elle en faisant des ajustements sur les vêtements, elle me touchait légèrement et tendrement me disant :
- Ca te va très bien, tu es très attirante dans cette tenue.
- Merci, tu es gentille.

      Et Julie de frotter mon corps en plaçant les vêtements... J'étais troublée par ces contacts.
- Tu crois que mon ami va être excité ?
- Pas seulement ton ami ...
- ... ?
- Karine, tu es très jolie. Ton corps est si beau... Tu sais que tu me plais beaucoup ?

      Et, en joignant le geste à la parole, elle s'approche de moi et pose un baiser sur ma joue. Voyant que je ne bougeais pas, elle pose ses lèvres sur les miennes en me serrant contre elle. Une douce sensation m'envahit et je me laisse faire... mieux, je me laisse aller à répondre à ses baisers.
- Tu as déjà fait l'amour avec une femme, Karine ?
- A vrai dire, j'en ai parfois eu envie, mais je ne l'ai jamais fait, non...
- Laisse-toi guider, alors.. Tu verras, je suis sûre que tu va aimer...

        Sans plus de préambule, nos mains se mettent à caresser le corps de l'autre pendant que nos langues se mêlent dans nos bouches. Après quelques instants, Julie commence à détacher ma jupe qui descend le long de mes jambes jusqu'au sol, puis remonte vers mes seins qu'elle caresse, tendrement au début, puis plus fermement. Je ferme les yeux en soupirant d'aise. Elle détache ma blouse et bientôt je me retrouve en sous-vêtements devant elle. Après quelques caresses, elle me demande de la dévêtir elle aussi. Je m'exécute lentement. Très sensuellement, je découvre les formes de Julie qui apprécie mes caresses. Ses seins sont gros et fermes. Je les caresse doucement en les soupesant, tout en frottant mon pubis contre sa cuisse musclée... Rapidement, nous nous retrouvons nues toutes les deux, Julie place ses mains sur mes hanches et descend ses lèvres sur mon buste, embrassant mes seins et tétant mes mamelons. Quelle douceur ! Je sens sa main qui glisse sur mes cuisses, entre mes jambes que j'entrouvre, m'abandonnant à ses caresses. Elle touche enfin mon sexe en feu... je gémis !!!!

      Elle fouille entre mes jambes, me caressant divinement et me pénétrant avec un doigt fouineur, puis deux, les faisant aller en moi comme un pénis. Elle m'étend ensuite sur le tapis du magasin et se place entre mes jambes écartées, me tenant par les cuisses. Elle place sa tête contre ma chatte et commence me lécher le sexe, les lèvres humides, titillant mon clitoris avec la pointe de sa langue. Puis elle enfouit sa langue en moi, fouille dans mon vagin trempé. Je la sens se tortiller en moi. Au bord de l'orgasme, je pousse sa tête de mes mains pour la sentir plus loin en moi...
- Tu es bonne, me dit Julie, délicieuse. Karine, j'aime ton sexe, laisse-moi encore goûter ton jus...

      Elle caresse mes fesses de ses mains, frottant mon anus de son index. Je suis au comble du bonheur. Ma patronne me fait jouir au plus au point... Secouée par une vague de plaisir, je cris mon bonheur !
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Je jouiiiis!!! Oh, que c'est bon ! C'est bon !!!

      Julie se délecte de mon jus chaud, elle me boit littéralement, lapant comme une chatte entre mes lèvres trempées. Je venais de connaître le bonheur lesbien pour la première fois. Je voulais moi aussi la faire jouir, et j'en eût l'occasion plus tard : pendant le reste de mon stage, elle m'a invité à demeurer chez elle, et nous avons souvent fait l'amour, chaque fois que nous rentrions du magasin. J'ai ainsi pu me perfectionner dans l'art de donner et de recevoir du plaisir entre femmes. Nous utilisions parfois toutes sortes de gadgets appropriés, des godes, des ceintures qui me permettait de la "baiser" comme si j'avais été un homme...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Vendredi 26 janvier 5 26 /01 /Jan 10:15
      J'avais 14 ans. Nous allions tous les ans en vacances chez nos cousins. Christophe avait 19 ans et j'avais décidé ce jour là d'être dépucelée par ce beau garçon qui me plaisait depuis plusieurs années.
      Au cours d'une ballade, nous sommes passés devant une grange dans laquelle étaient empilés des sacs de grains. Je l'ai entraîné vers cette grange et nous nous sommes allongés sur les sacs. Tout de suite, Christophe se mit à m'embrasser, sur les épaules, le visage, la bouche... J'étais chauffée à blanc et gonflée d'intrépidité. Je savais ce que je voulais et j'allais enfin l'obtenir, j'en étais sûre. Il a ouvert ma robe et me pétrissait les seins, caressant les pointes puis les prenant dans sa bouche. J'ouvrais les lèvres en geignant de plaisir. Je n'avais encore rien éprouvé de pareil. C'était merveilleux, extraordinaire. Je l'entourais de mes bras tandis qu'il me couchait sous lui, finissant de me déshabiller, puis baissa son pantalon et son caleçon pour dégager son engin.
      Il bandait et sa queue raide m'impressionnait : c'était la première que je voyais, elle me paraissait énorme. J'avançai la main pour la toucher. Elle était chaude, dure, et semblait vibrer de l'intérieur comme si elle avait un propre coeur qui battait dedans. C'était vivant, ça bougeais sous mes doigts, j'étais dans tous mes états ! J'étais jeune, mais j'étais déjà bien développée et j'avais déjà une belle touffe de poils blonds doré sur ma petite chatte encore vierge, mais plus pour longtemps !
      Christophe promena lentement ses doigts sur les lèvres humides de mon sexe trempé, puis plus vite, roulant entre le pouce et l'index mon bouton d'amour. J'ai dû mordre dans un sac pour ne pas crier. C'était trop bon, mais je ne voulais pas jouir avant d'avoir été pénétrée par son engin. Il frotta enfin son gland bleuté au bord de mon trou. Je criai :
- Oui ! Oui ! Mets-la-moi ! Je la veux ! Maintenant !.
      D'un coup de reins, il me pénétra en force. Je n'ai même pas eu mal. J'étais si mouillée d'excitation ! Il faut dire aussi qu'il y avait belle lurette que ma membrane était partie sous l'action d'un goulot de bouteille ou le manche d'une brosse ! Mais c'était ma première queue, et, putain, qu'est-ce que c'était bon ! J'étais remplie par sa bite qui me fouillait, il allait et venait en moins en grognant, se maintenant sur les avant-bras pour me pénétrer bien à fond.
      Ca n'a pas traîné : nous avons joui tous les deux en même temps, et ce fût encore une nouvelle sensation : d'abord, je sentais mieux que jamais les contractions de mon vagin autour de ce sexe qui me transperçait, puis, quand il a éjaculé, j'ai senti son jus me remplir par saccades. C'était si nouveau, si fort que je faillis m'évanouir.
      Puis il s'est écroulé contre moi et me murmura à l'oreille : "Je t'aime"...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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  • : Les coquineries de Karine, bisexuelle
  • Les coquineries de Karine, bisexuelle
  • : Divers
  • : Alors, petit coquin ou tendre coquine ? Tu es prêt(e) à vivre avec moi de torrides aventures ? Tu ne seras pas déçu(e) ! Ma vie sexuelle est si variée... Alors si tu es prêt(e), entre dans mon univers...
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