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Souvenirs

Vendredi 25 mai 5 25 /05 /Mai 14:17
    Bonjour à tous ! Il y a quelque temps, je vous racontais mes retrouvailles inattendues avec un vieil ami, Alexandre. Ces retrouvailles m'ont fait revivre quelques uns des plus chauds moments de ma vie d'hétéro, c'était avant...

    Avec Christophe, on participait à une soirée chez des amis. Ce soir-là, il avait insisté pour que je porte une petite robe décolletée, très légère. Je ne m'en suis pas plainte, avec la chaleur qu'il faisait !
    C'était vraiment une soirée formidable, tout le monde y était et le vin coulait à flot. Alexandre et Pierre, un type que je ne connaissais pas, ont décidé d'aller se baigner dans le lac un peu plus loin. Christophe m'a demandé si je voulais me rafraîchir aussi. Je ne demandais que ça ! Ma robe collait à ma peau et laissait voir les moindres détails de mon corps tellement j'avais chaud. Les gars ont plongé en short, mais c'est là que j'ai pensé que je n'avais pas mon maillot... Je n'étais vêtue que d'un string et d'un soutient-gorge en dentelle blanche. Au diable, l'eau avait l'air trop bonne. On s'est baigné pendant une demi heure et on s'est amusé. Pierre a décidé de retourner à la fête, mais Alexandre et moi avons décidé de rester à l'eau.
    Christophe a insisté pour que j'aille enlever mes sous-vêtement afin de les faire sécher un peu avant de me rhabiller. D'où j'étais, je pu voir que Christophe commençait à bander en me voyant me mettre nue. Je suis retournée à l'eau en me dandinant un peu. Je suis allée l'embrasser en lui caressant les fesses. J'ai repensé que Alexandre était derrière, alors je me suis retournée pour l'inviter à se joindre à nous.
    Le petit coquin, il bandait lui aussi ! Salope comme je suis, je lui ai caressé la verge d'une main et celle de Christophe de l'autre. C'était bon de sentir deux hommes qui me désiraient. On est montés sur le quai afin de pouvoir être plus à l'Aise.
    Là, je me suis couchée sur le dos Christophe à genoux par dessus pour que je lui suce cette belle verge bien dure. Alexandre s'amusait à m'embrasser et me caresser les cuisses. Je sentais ma chatte se mouiller de plus en plus, j'avais envie qu'il me lèche. Quand il a écarté mes jambes, il a pu apercevoir ma sève qui coulait de mon vagin, ainsi que mon clitoris qui ressortait et qui était rouge d'envie.
    Il m'a léché le clitoris en le mordillant un peu. C'était bon, il me lapait la chatte entière et il a enfoncé un doigt dans mon petit trou. Je lâchais quelques râles, mais avec la grosse queue de Christophe dans la bouche, mes plaintes restaient sourdes. Je voulais lui procurer le plus de plaisir à lui aussi. Je promenais ma langue sur son gros gland rouge et le masturbais d'une main. L'autre main s'amusait avec ses couilles. Les gars ont changé de place, j'était plutôt contente, Christophe mange tellement bien ! Il m'a embrassé le clitoris et l'a léché tendrement. Après, il a introduit sa langue dans mon vagin et a bien léché l'entrée. Il a glissé un doigt dans mon anus pour l'humidifier en continuant à me manger.
    Je jouissais comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Je crois que Alexandre a aimé sa pipe, avec les "ah oui! continue" que j'entendais!
    J'ai repoussé les gars et je me suis allongée sur Alexandre en dirigeant sa queue en moi. J'ai commencée à me faire aller, je frottait ma vulve sur lui en même temps. Christophe nous a regardé un moment, puis s'est joint à nous. J'ai senti sa verge entrer dans mes fesses tranquillement. Quelle sensation, deux queues en moi, ce n'était pas la première fois, mais c'est toujours aussi bon ! Les gars suivaient le même rythme et se sont mis à accélérer, je ne pouvais plus me retenir, je me suis mise à crier ma jouissance, j'étais au septième ciel !
    Alexandre est venu en premier, mais Christophe voulait qu'on continue entre nous. Il m'a retourné et s'est mis à me pénétrer sauvagement, il me mordillait les seins en même temps. Tous les deux, on sentait l'orgasme monter. Il s'est retiré brusquement et a giclé partout sur moi, lâchant un gros soupir de jouissance tout en éjaculant. Son sperme chaud et épais m'aspergeait le corps et je jouissais à nouveau en accueillant sa semence généreuse...
    Puis on a replongé à l'eau pour se rafraîchir et on est retourné à la fête, je crois que Pierre se doutait de ce qui venait de se passer, car il nous a fait un petit clin d'oeil. Plus tard on a su qu'il nous avait regardés et qu'il s'était branlé un peu plus loin. Sincèrement, je dois avouer que j'aurais préféré qu'il reste et qu'il jouisse avec nous, afin de profiter également de son jus...
    Mais vous, qu'auriez-vous fait à ma place ? Ou bien qu'auriez-vous fait si vous aviez été présent(e) ? J'attends vos commentaires avec impatience...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Dimanche 15 avril 7 15 /04 /Avr 09:02
Nouveau retour en arrière ce dimanche avec ce souvenir qui m'est revenu hier lors d'une inauguration... Ce souvenir date de l'époque où j'étais étudiante. Déjà attirée par les deux sexes, cette aventure relate l'uune de mes premières expériences de ma vie de bisexuelle que vous connaissez aujourd'hui.
     Ca s'est passé un lundi matin pluvieux, j‘avais décidé d‘aller étudier à la bibliothèque, pour etre certaine de travailler sérieusement .On était seulement trois, moi, Elodie et Sarah, une copine d‘école, belle blonde aux yeux bleus. Le bibliothécaire s'appelle Christophe, un beau brun aux yeux pers avec des fesses à faire craquer n‘importe quelle femelle. Depuis quelques temps, j'avais remarqué que Chris m‘observait et comme il me plaisait beaucoup, j'allais lui demander de m'aider à trouver un bouquin... ce qu‘il fit avec un plaisir évident. Il se dirigea vers le fond de la bibliothèque et je le suivais, toute excitée de l'avoir un peu pour moi toute seule... Pendant qu'il cherchait le livre en question, je ne pus m'empêcher de lui caresser discrètement les fesses. Il se retourna, surpris, et avant qu'il ne prononce un mot, je plaquais mes lèvres contre les siennes. Nos langues s‘entremélèrent dans ce baiser qui devient rapidement très passionné. Je sentais sa verge gonfler contre mon ventre, il parut un peu géné, mais ma main était déja partie à la découverte de l'objet de mes désirs. J'ouvrais son pantalon pour découvrir un sexe imposant, dur et chaud, tendu, vibrant dans ma main. Je m'agenouillais et le pris dans ma bouche, l'avalant d'un coup. La queue de Christophe m'emplissait la bouche, j'étais folle d'excitation d'avoir enfin pris possession de ce sexe tant désiré ! Il eu un gémissement qui attira l'attention de Sarah...

      Sarah était une étudiante très sérieuse. Personne ne lui connaissait de petit ami. Elle portait un tailleur-jupe ajusté noir et se dirigeait vers nous. Elle était en train d'enlever son veston. Elle me caressa les fesses, releva ma jupe pour s‘appercevoir que je ne portais absolument rien dessous. Elle fit un large sourire qui me fit comprendre que j'allais connaître de très bon moments ! Alors que je sucais Christophe, elle s'installa derrière moi et se mit à me lécher la chatte et le petit trou. J'ai tout de suite compris que ce n‘était pas sa première fois. Elle s‘attarda longuement sur mon clito qui devenait de plus en plus dur, puis fit pénétrer un doigt dans mon petit trou, puis deux, et lorsqu'elle comprit que j'étais prête, elle fit assoir Christophe et je m'empalais sur sa verge incroyablement bandée alors qu'elle prit quelque chose dans son sac... un gode vibrant qu‘elle fit pénétrer dans mon cul. J‘étais complètement remplie, elle se mit à me mordiller doucement le clito, tout près de la queue qui me fourrait... Je jouis brutalement en ayant l'impression de perdre connaissance, tant le plaisir était intense...

      Apres de longues minutes de ce doux supplice, elle se mit à 4 pattes et Christophe la pénétra par derrière, dans son vagin... Il la limait très fort et elle gémissaient de plus en plus. Je me suis installée sous elle pour la caresser, son bouton d'amour était rouge, gonflé. Je l‘embrassais, l'aspirais tout en léchant la bite mouillée qui défonçait la chatte de ma copine... C‘était si bon, cette chatte trempée pénétrée par cette queue énorme, à quelques centimètres de ma bouche... Christophe donna encore quelque coup de butoir et Sarah jouit à son tour avec violence, secouée de spasmes qui montraient l'intensité de son plaisir. Puis Christophe alla se placer devant nous pour jouir enfin. Il cracha son foutre sur nos deux visages. De longues giclées de foutre chaud nous aspergeaient alors que nous nous embrassions passionnement, mélant nos langues dans la salive et le sperme de notre amant merveilleux...

      Après cette aventure, Sarah et moi nous nous sommes revues souvent pour... étudier. ;-)
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Mercredi 7 mars 3 07 /03 /Mars 11:34
    Cet après-midi là, j'étais seule à la maison et je pensais à Christophe. Il était chez ses parents dans le sud, et je m'ennuyais. Il me prit l'envie de l'appeler, car il m'avait donné le numéro de téléphone où je pouvais le joindre. Je pris donc le combiné et composais le numéro. On décrocha au bout de quatre sonneries, une voix que je connaissais très bien et qui était comme une musique divine dans mes oreilles car c'était lui qui avait décroché...
      - Salut ma chérie. C'est moi. Je m'ennuyais de toi alors...
      - Je savais bien que tu m'appelerais. Que fais tu ?
      - Je griffonne dans mon bureau...
      - J'aimerais faire l'amour avec toi, maintenant...
      - Moi aussi. Tu me manques tellement...
      - J'ai envie de ta queue ! J'ai envie de la prendre dans ma bouche !
      - Je l'ai sortie de mon slip. Elle est déjà grosse pour toi !
      - Je pose mes lèvres sur ton gland ! Je l'enveloppe et je le lèche...
      - Je commence à me branler en pensant à ta bouche...
      - Je promène ma langue sur toute ta queue.
      - Ta bouche me plaît. Je me caresse lentement. Et toi ?
      - J'ai mis un doigt dans ma chatte. Je me branle et je te suce...
      - Oui, ta chatte est bonne, juteuse, délicieuse... Je te lèche le bouton.
      - Je me caresse en pensant à ta queue.
      - J'ai envie de l'enfiler dans ton con, et de te remplir de mon sperme.
      - Pour l'instant, je vais te sucer. Je prends ta queue entière dans ma bouche. Ma langue te tète au fond de ma gorge.
      - Oh oui... c'est bon...
      - Tu me sens bien ?
      - Oui, plus que ça. Je me caresse les couilles. Elles sont pleines de foutre, pour toi...
      - Tu vas me le donner...
      - Oui, dans ta bouche. Je vais te remplir la bouche.
      - Oui, donne-le moi, j'ai envie de te boire.
      - Moi aussi ! Ton jus coule de ta chatte. Je te sens très fort... Ta bouche, ton ventre, tes doigts... Et je me branle...
      - Je me caresse aussi, et je te lèche, du gland jusqu'aux couilles...
      - Tu te souviens quand tu m'as sucé en me mettant un doigt dans le cul... C'était très fort.
      - Oui, et ce soir, j'aimerais encore t'enculer en te suçant !
      - Ca me plairait ! Un peu de jus coule sur mon gland... Ca brille.
      - Ne vas pas trop vite !
      - J'aimerais moi aussi te mettre un doigt dans le cul...
      - Oui, mets-moi un doigt dans le cul avec ta grosse queue dans ma chatte !
      - Tu la fais encore grossir !
      - J'enveloppe ton gland avec ma langue, je le lèche... C'est bon ?
      - Oui c'est bon, trop bon. Tu continues à te caresser ?
      - Oui... et tu vas me faire jouir...
      - Ne va pas trop vite !
      - Branle-toi ! Branle bien ta queue que je suce...
      - Je me suis allongé par terre. Tu pourrais venir t'empaler sur ma tige.
      - Oui, j'enfile mon con sur ta queue ! Je l'engouffre complètement...
      - Chevauche-moi ! Baise-moi comme ça ! Tu aimes ?
      - Oui.. Oh oui, j'aime ! Ta queue me remplit ! Je vais... Je ... OOOOOhh !
      A cet instant, je jouis violemment. De longs soupirs accompagnent mon orgasme.
      - Oh ! Tu m'as fait jouir ! Tu as entendu comme j'ai joui ? Et toi, tu n'as pas joui ?
      - Pas encore, je voulais t'entendre jouir. Si j'avais joui en même temps, je n'aurais pas entendu aussi bien tes soupirs. Maintenant je suis prêt.
      - Oui, fais-toi jouir ! Je te suce, et tu vas jouir dans ma bouche. Vas-y ! Jute pour moi !
      - Oui... Ca y est... Je jouis !
      J'imaginais les longs jets de foutre giclant de sa queue tendue et retombant en chandelle sur son ventre. Mes doigts couverts de foutre continuant de branler sa queue dans les derniers spasmes.
      - C'était bon ! tu as aimé ?
      - J'ai joui comme un fou ! Je suis plein de sperme !
      Nous avons encore discuté un moment de choses plus sérieuses, puis nous avons raccroché à regret pour ne pas effacer ces paroles qui nous avaient donné tant de plaisir...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 15:18
            Christophe et moi avions réservé une table dans un bateau-restaurant flottant au milieu d’un magnifique lac de la région. Nous avions commandé une baby sitter pour garder notre fils durant toute la soirée. C’était, comme d’habitude, une jeune fille du lycée de la ville. Ce soir-là, Alexia était la seule disponible. Nous n’étions plus sortis depuis longtemps et en vérité Christophe m’avait caché qu’il allait s’agir en fait d’une sorte de petite croisière: sur place nous nous attendions à rencontrer des couples aussi sympathiques que le nôtre car nous avions en nous depuis fort longtemps le désir secret de vivre l’expérience de l’échangisme. Cette petite croisière, organisée par un club de nuit, était pour nous l’occasion à ne pas rater.

            Pour l’occasion, il m’avait offert des dessous affriolants, aussi sexy et osés que ceux vendus dans les sex-shops. La jupe, tout en latex rouge, recouvrait à peine mon intimité. Je veux dire par là qu’elle était vraiment très courte, au ras du sexe, épilé pour l’occasion. Pour une fois, Christophe m’avait conseillé de ne pas porter de culotte. Un petit corsage blanc retenait difficilement mes seins qui pointaient, supportés par un minuscule soutien-gorge. J'allais sûrement affoler les hommes qui me regarderaient. Tous, j’en étais certaine, n’auraient plus qu’une idée en tête : me bourrer ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, je me dandinais un peu devant Christophe, ce qui le fit bander très dur.

            J’étais très excitée de l’avoir mis dans cet état. Il commençait à me peloter. Je protestait que la baby-sitter allait arriver d’un instant à l’autre, mais il ne voulait rien entendre : il voulait me baiser tout de suite ! En fait, je voulais avoir sa grosse bite dans ma bouche, mais plus tard, sur la croisière. J’insistais dans mon refus et il se calma un peu. Nous étions à la porte du garage quand une voiture déboucha dans l’allée. La portière s’ouvrit côté chauffeur et quelqu’un vint vers nous. C’était un voisin qui habitait un peu plus bas. Quand il me vit, il restât bouche bée. Il ne m’avait jamais vue vêtue de cette façon. Je ressentis une sorte de gêne, personne ne m’avait déjà vu habillée comme ça. Tout le monde l’appelait Bob. Je lui souriais et lui demandais ce que je pouvais faire pour lui. Il me répondit avec un grand sourire et tout en me regardant qu’il préférait ne pas me dire comment je pourrais lui être utile. Il me complimentait sur ma tenue tout en regrettant que sa femme n’ait pas un look aussi sexy. Je le remerciais du compliment, mais lui expliquais que je devais partir tout de suite. Il resta un moment silencieux, en ne cessant de me dévorer des yeux.

            Je montais dans ma voiture et rougis aussitôt quand je compris que, dans le mouvement, j'avais involontairement offert à Bob une vue imprenable sur mon minou tout lisse. Je fermais la portière et descendis la vitre tandis que Bob s’approchait plus près. Il était debout devant moi, mon visage était à hauteur de sa braguette. Je ne voyais pas son visage mais je savais ce qu’il regardait. Le haut de son pantalon, devant moi, commençait à se gonfler. Mes seins, serrés dans le corsage, débordaient presque du soutien gorge. Mes mamelons étaient durs et visibles. Je sortis la tête au dehors. Il recula un peu. Je lui dis que je devais réellement y aller. Il me salua et se dirigea précipitamment vers son véhicule. J’étais persuadée qu’il allait se masturber en pensant à moi, et cela m'excita beaucoup...

            Alexia arriva à 19h15. Elle siffla en remarquant ma tenue et m’avoua qu’elle me trouvait terriblement excitante. Ce compliment, venant d’une jeune fille de 18 ans, me rendit toute fière en m'excita encore un peu plus. Elle me demanda comment Christophe me trouvait ainsi. Je lui dis alors comment il avait eu envie de me violer un peu plus tôt dans la maison. Elle émit un petit gloussement tout en rougissant. Alexia était une fille très libérée. Nous parlions comme de vieilles amies. Ainsi, elle me faisait facilement des confidences sur ses aventures avec ses petits amis et il n’était pas rare que l'on parle de sexe. Ce soir là, il me semblait que ma tenue lui avait donné certaines idées. Je lui donnais les instructions pour la nuit : la télévision pour notre fils, l’heure à laquelle elle devait le coucher, etc., et je pris le volant.

            Nous roulions depuis un bon moment, mais la circulation en plein week-end était très difficile. A quelques kilomètres du lac, l’intensité de nos phares baissa exagérément, et la batterie nous lâcha, si bien que nous dûmes pousser la voiture sur le bas-côté de la route. Un dépanneur, qui passait au même moment, avertit sa station et voulut bien nous aider. Christophe et lui bricolèrent quelques temps sous le capot et au bout de 10 minutes la voiture redémarra. Déjà nous savions que le bateau ne nous avait pas attendu. Nous avons remercié le mécanicien après l’avoir payé. Avec Christophe nous décidâmes de retourner vers la maison après cet incident.

            Dans le couloir, j'entendis des bruits étranges venir de la chambre. J’entendais les gémissements de plusieurs personnes. Il était certain que ces bruits provenaient de personnes faisant l’amour. Plus curieuse qu’effrayée, je me dirigeais à pas lent vers la porte. Je ne savais pas si je devais continuer où retourner vers la cuisine. J’imaginais déjà Alexia se faisant bourrer par un de ces jeunes garçons qui lui tournaient autour et je l'imaginais en train de pomper une jeune petite bite. Je retournais vers la cuisine où je racontais tout à Christophe. Nous avons alors pensé qu’il serait amusant de nous diriger doucement vers eux pour en savoir plus.

            Une fois prés de la chambre, il nous semblait entendre le petit ami lui dire plein de mots cochons. Nous pouvions l’entendre gémir à travers le mur. La voix qu’on entendait était celle d’une autre fille. Christophe m’adressa un petit sourire et poussa doucement la porte: notre petite baby-sitter regardait tout simplement une de nos cassettes vidéos personnelles. En effet, Christophe, au cours de certaines de nos soirées chaudes, prend sa caméra. Alexia était assise sur le parquet, son short et son slip à côté d’elle. Jambes écartées, elle regardait attentivement la vidéo, une main glissée dans son entrejambe, frottant furieusement son petit minou.

            Sur l’écran, on pouvait voir ma soeur, Gina, comme une vraie chienne, se faire défoncer par Christophe, tandis que le petit ami de celle-ci, un noir, me clouait sur le plancher avec sa grosse bite dans la chatte. Avec Christophe, stupéfaits, debout prés de la porte, on ne savait que faire. Alexia n’allait-elle pas raconter à tout le quartier nos aventures filmées ? Nous avons alors décidé d'entrer dans la chambre. Alexia avait deux doigts dans le minou et elle les portait souvent à sa bouche. Elle ne remarqua pas notre présence, concentrée sur sa masturbation. Christophe commença à me pétrir les seins, excité par le spectacle de l'adolescente. Il avait dégraffé mon corsage et sortait mes seins. Je sentais sa bite toute raide à travers son pantalon.

            Au moment où Christophe sortit sa queue et releva ma jupe, Alexia se retourna, surprise, et dit :
            - Oh, mon Dieu !
            Sans se défaire, Christophe continua à relever ma jupe, me fit écarter les jambes et m'encula aussi sec, sous les yeux effarés de la baby-sitter. Cette dernière restait pétrifiée, n'osant dire un seul mot, les yeux fixés sur notre couple lubrique. Fou d'excitation de me fourrer ainsi devant la jouvencelle émerveillée, Christophe jouit très vite. Au moment où il déchargea dans mon cul, il hurla :
            - Ah, putain ! C'est bon ! Tiens... !
            Puis il se retira. Alexia se mit à parler :
            - Excusez-moi, dit- elle, Je suis désolée... Je ne pensais pas...

            Elle était réellement troublée. Elle s’approcha de moi et se mit à pleurer. Je sentais son jeune corps tout chaud, ses seins ronds et fermes sur ma poitrine. Comme elle m'enlaçait de ses bras, ses doigts rencontrèrent quelques gouttes de sperme restées sur ma jupe. Je lui conseillais de remettre ses vêtements, mais pour toute réponse elle remonta ma jupe et me caressa les fesses. Elle me regarda droit dans les yeux. Je lui dis alors :
            - Tu aimerais que Christophe te bourre, toi aussi ?
            Christophe me regarda avec plein de complicité.
            - T'aimerais ça, dis ? Il te baisera comme sur la vidéo, tu veux ?
            - Je ne sais pas... Je...
            Sans attendre la réponse, je la fis se mettre à quatre pattes, le cul bien dressé. De mes doigts, j'ai fouillé dans sa chatte encore trempée de la branlette et de l'excitation causée par la sodomie dont elle avait été la spectatrice privilégiée, et lui étalais sa mouille partout entre les fesses et à l'orée du petit trou. Christophe bandait déjà, aussi dur que tout à l'heure. Il prit sa bite à pleine main et la dirigea vers la bouche de la baby-sitter. Il me sembla qu’elle l’avalait presque entièrement. Elle le suçait comme une vraie pute. Cette fille avait dû bien regarder nos cassettes !
            Comme elle le réclamait dans sa chatte, Christophe se retira et approcha sa bite de la vulve péparée. Lentement, il la pénétra avec précaution. Alexia gémissait de plaisir et demandait à Christophe de la bourrer plus fort, plus profondément, ce qu’il fit sans se faire prier. Je m'étais reculée pour mieux les observer et je me branlais frénétiquement. Au bout de quelques minutes, elle se tordait dans tous les sens, jouissant comme une malade. Christophe, excité comme jamais, criait qu’il allait arriver.
            - Ahh ! Je vais jouiiir !
            - Nooon ! criait Alexia. Attends ! Je veux tout dans la bouche !
            Elle avait vu ma soeur Gina sur l’écran, pomper et avaler le foutre de Christophe, et elle voulait en faire autant. Elle se dégagea et se retourna, prenant la queue prête à éclater entre ses doigts.
            - Tiens, p'tite pute ! Tu veux mon foutre ? Alors Tiens !!!
            Aussitôt, des jets de sperme lui éclaboussèrent le visage. Elle fermait les yeux et branlait mon mec qui n'arrêtait plus de gicler. Elle frottait la queue sur sa figure, étalant le foutre avec le gland de Christophe, puis le prit dans sa bouche et avala les dernières giclées. Je jouis à mon tour, les doigts poisseux enfoncés dans la chatte, tandis qu'à l’écran de la télévision restée allumée, on me voyait, en gros plan, me faire prendre des deux côtés par mon beau frère et Christophe, pendant que Gina tenait la caméra...

            Christophe a raccompagné Alexia. Il est rentré deux heures plus tard. Il savait que je l'attendais.
            - Ahh ! Je l'ai baisée comme une chienne. Je lui en ai mis plein son p'tit cul ! Tu veux voir ça ?
            Il sortit de sa poche le camescope qu'il avait discrètement emmené avec lui. A l'écran, on voyait Alexia, baissée sur la braguette de Christophe et lui sortir la queue. Il bandait à nouveau...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 15:54
    Un jour, il y a quelques années, Christophe m'avait amenée dans un vaste appartement dont il avait les clés. Il m'avait dit qu'il allait me présenter à un ami très intéressant qui me plairait sans doute beaucoup. L'intérieur était aménagé en atelier d'artiste, avec un toit vitré. Un jeune homme était étendu sur un divan, écoutant une musique que j'ai reconnue : Léonard Cohen... Je sentis une odeur curieuse, agréable d'ailleurs, que j'avais déjà quelquefois respiré, pareille à celle du foin séché, mais plus lourde, comme mêlée d'encens...
    Le jeune homme se leva pour nous accueillir ; il était vêtu d'une robe mauritanienne très ample, teinte à l'indigo et brodée de blanc. Il avait les cheveux bruns, d'étranges yeux gris-vert. Il me regardait avec admiration.
    - Je te présente Grégory, dit Christophe. Et à celui-ci : Voici Karine, elle est belle, n'est-ce pas ?
    Il fit jaillir mes seins hors de la robe, les caressa pour que les pointes jaillissent plus encore. Il ajouta :
    - Je te la prête, si tu veux, elle est d'accord.
    Grégory s'approcha, commença à caresser la peau rose de l'aréole, Christophe défit l'agrafe. Ils me déshabillèrent ensemble, et debout au milieu de la grande pièce, je fermais les yeux de plaisir sous les caresses simultanées de ces quatre mains, de ces deux bouches. Je ne savais plus lequel me mordait la nuque, lequel baisait mon sexe...
    Ils me portèrent sur un lit très bas, très vaste, et j'eus un peu mal quand Christophe s'enfonça dans mes reins. Jamais il ne m'avait enculée si brutalement, mais le plaisir remplaça très vite la douleur. Sa queue me fouillait, ses couilles battaient contre mes fesses, alors que Grégory admirait le spectacle en tenant son sexe bandé d'une main velue, se branlant doucement, lentement.
    Ils recommencèrent à me caresser et je me détendais. Grégory me pénétra à son tour, pénétrant ma chatte trempée d'excitation, alors que le sexe de Christophe emplissait mon anus. Je sentais les deux queues me fouiller, butant parfois l'une contre l'autre à l'intérieur de mon ventre, séparée par une fine cloison de chair...
    Ils me firent longuement l'amour, tous les deux, le plaisir que chacun donnait se fondait en un seul plaisir, notre plaisir,  et je sentis les deux hommes jouir, non seulement d'être en moi, mais aussi de se toucher à travers moi. Je jouis avec eux de sentir leur semence me remplir des deux côtés, et j'étais heureuse de leur donner cet orgasme, cette jouissance, et d'être ainsi doublement pénétrée, doublement offerte...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Mercredi 21 février 3 21 /02 /Fév 11:02
    Mercredi dernier, je suis allée à la piscine. J'adore l'atmosphère des piscines, leur odeur chlorée, les gens qui montrent leur corps sans s'en rendre compte. Je m'amuse souvent à mater les nanas aux seins moulés, les maillots qui s'insinuent entre leurs lèvres intimes, les bites moulées dans les maillots des mecs... Ce jour là, j'avais envie d'un homme. Le type que j'avais choisi était vraiment trop beau pour que je laisse passer l'affaire : grand, athlétique, taillé en Y, un V avec une jambe dessous... et je ne voyais que cette troisième jambe. Belle bite fière et noueuse, au gland large. Je la voulais !
    J'ai alors nagé près de lui et j'ai fait mine de boire la tasse et de couler. Ca n'a pas manqué : il m'a saisie par la taille et, me maintenant contre lui, m'a ramenée vers le bord. Ses hanches calées dans mon dos, je sentais sa queue contre mon cul et, diabolique, j'entamais des mouvements lascifs afin de lui montrer ce que je désirais. Sans hésiter, il m'embrassa dans le cou, puis insinua la pointe de sa langue au creux de mon oreille. Un flot de frissons parcourut mon échine tandis que je sentais son membre se raidir et gonfler entre mes fesses. Il sortit de l'eau sans complexe et me hissa sur le bord. Il bandait fièrement, et j'étais excitée à l'idée que cette queue magnifique serait à moi dans quelques instants...
    Nous nous sommes dirigés vers les cabines. Sitôt la porte claquée, il me plaque contre le mur. Sa bouche prend possession de la mienne, ses mains s'emparent des mes seins, arrachent mon haut de maillot pour mieux les pétrir. Il me suce maintenant, tout en frottant son sexe raidi contre mes cuisses. Je sens mon jus affluer au bas de mon ventre alors que ma main libère sa tige dure et grosse. Je le branle tandis qu'il s'empare à son tour de mon sexe trempé, enfonçant deux doits tout en titillant le clitoris gonflé. Je jouis immédiatement sous ses caresses expertes...
    Je n'ai plus qu'une envie : prendre ce sexe magnifique dans ma bouche, l'aspirer, l'avaler... Je m'agenouille entre ses jambes alors qu'il s'assied sur le petit banc de la cabine. Je vois enfin cette queue que je n'avais jusque là que sentie : elle est vraiment splendide, à la fois grosse et longue, noueuse, le canal gonflé dessous semblant indiquer le chemin vers le gland luisant au frein très nettement dessiné. Je caresse cette tête d'obus de la pointe de ma langue, l'agace, cours autour du pied, tente d'en pénétrer l'orifice qui semble distendu, prêt à cracher sa lave, descend jusqu'à la base, lèche l'une après l'autre les couilles rondes puis j'avale cette bite de rêve, et la pompe, et je la suce, j'éjacule ma salive par ma bouche tandis que mon sexe se transforme en fontaine sous la caresse de ses doigts agiles. Je jouis une seconde fois. Il jouit enfin à son tour et je bois ses jets bouillant. Ma bouche est remplie de son sperme légèrement salé. Je lèche et je suce sa queue brillante pour ne pas perdre une goutte de ce foutre délicieux...
    Nous nous sommes rhabillés et, ensemble, sommes sortis de la piscine. Il m'a proposé de me ramener, et comme j'étais seule à la maison, je l'ai invité à prendre un verre pour fêter notre rencontre. Il est resté toute la soirée...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Mercredi 14 février 3 14 /02 /Fév 08:08
    L'hôtel club oùnous étions en vacances proposait à notre service un hammam avec bains chauds et massages... Ce jour là, l'endroit était désert, et j'étais la seule cliente à me délasser... et j'avais donc la masseuse pour moi toute seule...
      Quand elle eut achevé de me baigner et m'eut séchée dans une grande serviette tiède, la masseuse m'invita à m'étendre sur la table capitonnée. Elle frappa d'abord avec la tranche de la main, à petits coups précipités, puis me pinça les muscles, pesa sur mes mollets et sur mes reins, tira sur les phalanges de mes orteils, me malaxa longuement la nuque et me tapa sur la tête. A demi-assommée, je me sentais malgré tout détendue et contente.
      La masseuse sortit ensuite d'une armoire deux appareils de la taille d'un paquet de cigarettes, qu'elle fixa au revers de chacune de ses mains et qui émirent aussitôt un ronflement de toupie. Ses paumes vibrantes rampèrent lentement à la surface de mon corps nu, s'y enfonçant par tout ce qui offrait une cavité ou un repli, se glissant au creux de mon cou, sous mes aisselles, entre mes seins, entre mes fesses, avec une compétence irrésistible. Puis elles cherchèrent sur la surface intérieure de mes cuisses les points les plus réceptifs. Je tremblais de toute ma chair. Mes jambes se séparèrent et je soulevais légèrement le pubis, m'offrant avec un mouvement discret qui tendait les lèvres de mon sexe comme pour un baiser. L'une des paumes se plaqua contre ma vulve tandis que l'autre s'éloigna et remonta vers mon buste, allant et venant avec métier.
      Lorsque je commençais à geindre de plaisir, d'une voix à peine audible, elle grimpa jusqu'à mes seins, tourna sur eux, effleurant leur sommet, appuyant sur les pointes. Les ondes me traversaient jusqu'aux reins, me menant enfin à l'orgasme. Je jouis en me cambrant, criant plaintivement de bonheur. Les spasmes contractaient mon vagin à me faire presque mal. Les mains continuèrent leur office jusqu'à ce que l'orgasme décrût. Alors la masseuse se penchât sur ma bouche et m'embrassa tendrement. Sa langue tournoyant autour de la mienne finit de m'apaiser complètement. Je n'avais même pas honte d'avoir ainsi joui aussi violemment...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Dimanche 11 février 7 11 /02 /Fév 07:59
            Cet après-midi là, je rangeais des dossiers classés aux archives, dans les sous-sols de l’entreprise où j’étais employée comme stagiaire. L’archiviste, contrairement à l’image de vieil ours renfermé qu’on s’en fait habituellement, était en fait un beau jeune homme d’une trentaine d’années. Je me disais qu’il n’aurait pas fallu qu’il insiste énormément s’il avait voulu s’offrir un bon moment en ma compagnie, mais il s’est juste contenté de m’indiquer de loin l’endroit où l’on rangeait les dossiers comme les miens. Déçue, je m’y suis rendue, tout en élaborant un plan pour l’attirer dans mes filets…

            Alors que j’étais grimpée sur un escabeau pour atteindre les étagères du haut, il arriva, me demandant si j’avais besoin d’aide. Je me dis que mon charme avait finalement opéré, et, ouvrant discrètement mais malicieusement les cuisses afin de lui offrir un point de vue suggestif, je lui demandais de me passer les piles de feuilles. Malheureusement – ou plutôt heureusement pour la suite – l’une des piles m’échappa et retomba sur lui alors qu’il était en train d’en saisir une autre, le faisant tomber sur le sol dur de la cave. Je m’empressai de descendre, voir s’il n’avait rien de grave. Alors que je me penchais sur lui, il me saisit par la taille et m’embrassa avec autorité. Aussitôt, je plaquai mon corps contre le sien, frottant mon pubis contre la bosse qui ne tarda pas à se former dans son pantalon. Je glissai une main vers l’objet, dégrafai la ceinture de son pantalon et sortis un engin de belle taille qui bandait fièrement entre mes doigts.

            Je pressai fermement son corps contre le sol et ce faisant, je remarquai qu'il tenait dans la main un préservatif. Je le lui pris doucement et le roulai lentement du haut en bas de sa superbe bite dure, me penchant sur lui pour prendre ses couilles dans ma bouche tout en déployant le préservatif pouce par pouce. Un fois qu'il fut fermement en place, je pris en main ses testicules et commençai de mordiller le bout de sa bite. Il gémit tandis que je la faisais glisser profondément dans ma bouche, et poussa un cri quand j'enfonçai les derniers centimètres et lui prodiguai une formidable succion ascendante. Son corps moite, luisant, s'agita tandis que je léchais la base exposée de sa bite avec ma langue. Je bougeai, passant mes jambes à califourchon sur son visage, pompant toujours sa pine et câlinant ses couilles.

            J'entendis le bruit d'une déchirure tandis qu'il arrachait l'entrecuisse trempé de mon collant ; et il commença à frotter avec ses doigts, d'arrière en avant, les lèvres humides de mon sexe. Je me contractai et suintai un suc odorant tandis qu'un autre doigt, humide et adroit, massai mon trou du cul, puis le pénétrait, s'enfilant lentement. Je poussai mon bassin contre ses doigts, faisant mouliner mon pubis contre eux, et lâchai un petit cri alors qu'il les tortillait dans mon vagin trempé.

            Il me repoussa et me disposa à quatre pattes, mes cuisses et mon cul offerts vers le haut. Vivement, il tira la ceinture vers le bas et d'un coup sec, tira mes jambes en arrière. Tenant sa queue dans ses mains, il l'avança entre mes jambes et frotta le bout contre mon clitoris humide et gonflé. J'étais secouée de spasmes de plaisir tandis qu'il frottait sa bite raide contre moi, et je poussai un cri aigu quand il en introduisit les premiers centimètres en une poussée lente et habile. Il agita son pénis d'avant en arrière à l'intérieur de mon vagin, et je reculai doucement, absorbant davantage sa queue épaisse à chaque mouvement du bassin.

            Il commença à me baiser lentement par-derrière, me tenant par la taille et, se retirant, s'arrêtant, puis s'enfonçant plus profondément encore. Chaque fois qu'il me pénétrait, mes seins lourds et pleins, rosés et meurtris par les caresses et les mordillements, se balançaient et je sentais mes muscles se resserrer autour de sa bite. Il me semblait que mes tétons éraflaient l'air, et se durcissaient à chaque balancement.

            Quand je bougeais en tandem avec lui, rencontrant ses coups de reins avec mes jambes serrées autour de sa pine, impatiente d'intensifier ma jouissance, il s'arrêtait tout à fait ou ralentissait excessivement. Il me pénétrait si lentement que je pouvais sentir chaque muscle de mon vagin se relâcher autour du gland qui me transperçait, et puis, une fois bien à l'intérieur, il se retirait progressivement, me laissant ruisselante. Il augmentait graduellement ses élans, et moi, désirant la pleine puissance de sa bite qui me bourrait, j'entourai son engin de mes mains et le guidai plus profondément au-dedans, éprouvant son effort contre mes parois vaginales. Puis ses coups de reins s'arrêtèrent, il se pencha et m'embrassa fortement, nos langues se heurtant en une frénésie de chair et de salive, cherchant et sondant frénétiquement. Mon bassin se soulevait, jambes écartées, le suppliant de me pénétrer à nouveau.

            Quand il dit : "Je veux voir ton visage quand tu jouiras", mon cœur manqua un battement. Il me tapota tendrement la joue ; je serrai ses mains dans les miennes, puis les pressai fermement contre le sol tandis que je me tortillais, me contorsionnais, agitant sa bite en moi. Le suc de ma chatte sortait en gouttelettes et se prenait dans ses poils pubiens. Quand je ne pus me retenir plus longtemps de venir, je bougeai sa pine en moi plus vite et plus profondément, sa bite dure, lisse, qui enflammait mon vagin. Il se cabrait, sa queue luisante de ma mouille glissant dedans et dehors, et l'explosion de mon orgasme gagnait en intensité à chaque bourrade. Je sentais son pénis palpiter furieusement dans mon con, et j'avais l'impression que les parois de mon vagin étaient en train d'éclater.

            Nous jouîmes en même temps en un frisson formidable tiraillant nos chairs, haletant de plaisir et d'excitation. Nous écroulâmes sur le sol, étreints dans nos humidités et nos odeurs mêlées...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Mardi 6 février 2 06 /02 /Fév 14:23
   Marine, c’est une de mes petites amies. Une jolie petite amie… très jolie même. Elle est sensuelle, amoureuse, un peu narcissique, mais elle a bougrement raison d’aimer son corps. Elle l’aime comme on aime ce qui est agréable à regarder, mais elle l’aime également en amoureuse. Si elle se donne souvent du plaisir, si elle fait vibrer son corps sous ses caresses, c’est tout simplement parce qu’elle possède un tempérament, une sensualité, une sexualité hors du commun. A la seule pensée que je suis l’heureuse bénéficiaire de cette petite merveille, je mouille aussitôt. Je suis une femme comblée.
    Bien sûr nous nous sommes fait réciproquement des confidences sur nos années adolescentes en nous racontant nos premiers émois, nos premiers plaisirs solitaires, nos jouissances secrètes et cachées. Son parcours en ce domaine est intéressant et mérite d’être raconté.
    Jeune elle était déjà bien faite, comme j’ai pu le constater sur les photos qu’elle m’a montrées. En maillot ou en bikini au bord de la mer elle était sexy, avec un corps parfaitement fait malgré sa jeunesse. J’étais excitée rien qu’en voyant ses longues jambes aux cuisses charnues, sans excès, quant à sa taille, sa minceur faisait ressortir davantage sa poitrine qui, pour juvénile qu’elle était, avait la splendeur de la plénitude et un maintien qui aurait justifié l’absence de soutien-gorge.
    Elle avait découvert le plaisir solitaire très tôt, mais, excès de pudeur sans doute, elle se caressait à travers sa petite culotte, jamais directement sur sa chair en fusion. C’est arrivé sans qu’elle ait recherché quoi que ce soit, mais se réveillant un matin avec les mains coincées entre ses cuisses repliées, elle se rendit compte que ce contact était agréable, elle remua l’une de ses mains, puis le bout des doigts à l’endroit où se situe l’une des différences entre garçons et filles. Cela lui plut… elle continua et, soudain, sentit un frisson lui parcourir le corps, elle fut comme secouée par un plaisir intense et connut ainsi son premier orgasme. Par la suite elle s’adonna souvent à cette chose dont elle ignorait le nom : masturbation.
    C’est précisément à cette époque-là qu’elle eut une révélation qui lui apporta un plus dans cette recherche du plaisir. Un jour qu’elle revenait de la fac plus tôt que prévu, (en raison de la maladie d’un prof) en arrivant à la maison, elle entendit chantonner à l’étage. Son frère, qui venait de faire du sport, prenait une douche et, de ce fait, n’avait pas entendu Marine entrer et monter à l’étage. Ne s’attendant pas à ce qu’elle revienne de bonne heure il avait laissé la porte ouverte. En passant dans le couloir, elle le vit, nu, car il venait de sortir de la partie douche de la salle d’eau. D’où elle était il ne pouvait la voir le couloir, de plus, n’était pas éclairé, Marine s’était contenté de la lumière venant de la salle d’eau pour monter.
    Elle le vit de profil, il se regardait dans la grande glace murale et elle fut étonnée de ce qu’elle vit car il bandait. C’était la première fois qu’elle voyait un garçon nu, sexe dressé. Elle n’avait dans ses souvenirs que l’image de petits zizis, du temps où l’enfance, ne connaissant pas la pudeur, en était encore à l’innocence. Cette vision fut pour elle comme un coup de fouet qui lui fit monter comme une chaleur dans tout le corps. Mais elle n’était pas au bout de ses surprises. En effet, Romain, son frère, prit tout à coup son sexe à pleine main et commença un va et vient en douceur, pour commencer, puis de plus en plus vite et elle vit tout à coup jaillir des jets blanchâtres tandis que son frère poussait des gémissements avant de se laisser tomber sur le sol, main crispée sur son sexe toujours tendu.
    Profitant de l’extase où se trouvait son frère, Marine, sans bruit, se dirigea vers sa chambre et après avoir refermé et verrouillé la porte elle releva sa robe, vit la tache d’humidité sur le fond de sa culotte, comme quand elle se donnait du plaisir. Une idée folle la saisit, elle s’accroupit devant l’armoire à glace, cuisses ouvertes. Elle vit le blanc humide de sa petite culotte plaquée sur sa vulve dont on devinait le contour. Elle passa ses doigts sur le creux dessiné par le fond de son vêtement intime puis, brusquement, se releva, retira sa petite culotte et s’accroupit à nouveau. Elle resta un moment à regarder cette partie d’elle même entrouverte, dilatée, trempée puis entreprit, pour la première fois, de se masturber en « contact direct ». Ce fut foudroyant, sa jouissance fut d’une telle intensité qu’elle ne se souvenait pas avoir déjà joui de la sorte.
    Elle s’allongea sur la moquette, goûtant le délicieux abandon que l’on ressent après ce genre de plaisir sexuel. Par la suite, ses caresses d’amour furent toujours accompagnées du souvenir de ce sexe d’homme dressé crachant en plusieurs jets au moment de la jouissance de son frère. Ce fut son secret à elle car jamais, au grand jamais, elle n’aurait avoué à Romain qu’elle l’avait surpris en pleine séance masturbatoire.
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Dimanche 4 février 7 04 /02 /Fév 11:34
     Cet après-midi là, j’avais décidé de faire du shopping dans un centre commercial en ville. Je portais une mini-robe à fleurs. Il faisait beau et chaud. Après quelques minutes dans les bouchons du centre-ville, je suis enfin arrivée dans le parking souterrain. J’ai garé ma voiture et rejoint le coeur du centre commercial par un des ascenseurs. Après avoir flâné un peu à regarder les vitrines, je me suis décidée à rentrer dans un magasin de vêtements. Il y avait un peu de monde mais pas trop. J’ai craqué pour une petite robe noire et je me suis rendue dans une cabine d’essayage au fond du magasin.
      Je suis rentrée dans la cabine et j’ai tiré le rideau. Puis je me suis empressée de faire glisser la robe que je portais. Dessous, je n’avais pas mis de soutien-gorge et j’ai pris quelques instants pour admirer ma poitrine dans le miroir en face de moi. En bas, je n’avais qu’un minislip noir en dentelles. Puis j’ai passé la robe que j’avais choisie. Elle ne m’allait pas trop et je l’ai vite enlevée. C’est à ce moment-là que, presque nue, alors que j’étais face au rideau, je me suis aperçue que celui-ci était entrouvert et qu’un homme ne perdait pas une miette du spectacle que je lui offrais. Je suis restée sans bouger un petit moment puis, décidant de le provoquer, je me suis lentement rhabillée en laissant le rideau entrouvert.
      Puis je suis sortie de la cabine en faisant semblant de ne pas le voir. J’ai reposé la robe où je l’avais prise et je me suis approchée d’un bac à vêtements et me suis mise à chercher un article à l’intérieur. C’est alors que j’ai senti une personne me serrer de très près derrière moi. Sans le voir, j’ai tout de suite su que c’était le même homme. J’ai fait semblant de rien mais j’ai senti une main remonter le long de ma cuisse droite et se glisser sous ma robe. Je me suis serrée contre le bac à vêtements, coinçant sa main pour l’empêcher d’aller plus haut. Il s’est arrêté, la main à la lisière de mon slip. A ce moment-là, il a commencé à frotter son ventre contre mes fesses et j’ai senti sa queue durcir contre moi. Je ne sais pas si c’était dû au monde qui nous entourait et qui pouvait nous voir mais je me suis mise à mouiller. Une femme à côté de moi m’a bousculée et lui en a profité pour monter sa main contre mon slip. Il a dû tout de suite sentir que j’étais très excitée. !
      Ne voulant pas jouir ici, j’ai donné un coup de pied dans son tibia. Il a étouffé un cri et s’est écarté. J’en ai profité pour me dégager et quitter le magasin.
      J’étais trop excitée et je me suis dirigée vers les toilettes des femmes. Mais, à peine étais-je rentrée que cet homme m’y suivait. Il n’y avait que nous.
      · Que voulez-vous ?, lui ai-je dit, un peu apeurée.
      · Tu as envie de jouir, d’après ce que j’ai senti. Et moi, j’ai tout ce qu’il te faut, dit-il en mettant sa main sur la bosse que faisait son pantalon.
      · Non, pas ici. On pourrait venir. Et puis, je suis mariée.
      · Alors, raison de plus pour se dépêcher, répondit-il en dégrafant son pantalon. Et je le vis sortir sa queue. Elle était dure et tendue au maximum.
      Il me dit durement : -suce-moi.
      Alors, je me suis agenouillée devant lui et j’ai pris sa bite dans ma bouche. J’ai fait aller ma langue sur cette queue, longue et au gland bien luisant. Il a mis sa main sur ma nuque et m’a obligée à l’avaler en entier. Je me suis alors appliquée à le sucer de mon mieux. A ce moment-là, j’ai entendu la porte des toilettes s’ouvrir et un bruit de pas féminin. Je n’ai pas pu voir qui c’était dans la position où j’étais. J’ai juste entendu un oh de stupéfaction puis, après quelques instants, où la femme devait apprécier le spectacle, des excuses puis la porte s’est refermée.
      L’homme m’a alors arrêtée et m’a relevée. Je me suis retrouvée appuyée contre un lavabo. Il a remonté ma robe sur mon ventre, écarté mon slip et, d’un coup sec, m’a pénétrée. Je n’attendais que çà. Dans l’état d’excitation où j’étais, je voulais sentir une queue me pénétrer. Et, en essayant de ne pas crier trop fort, je me suis mise à jouir. Il en a fait de même après seulement quelques coups de boutoir tellement il devait être excité lui aussi. Puis, il s’est écarté de moi et s’est rajusté.
      · Tu es vraiment une bonne salope. Je resterais bien avec toi plus longtemps mais ma femme doit s’impatienter.
      Puis il est sorti, et je me suis retrouvée seule. Je me suis rhabillée, remaquillée puis j’ai quitté le centre commercial.
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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  • Les coquineries de Karine, bisexuelle
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  • : Alors, petit coquin ou tendre coquine ? Tu es prêt(e) à vivre avec moi de torrides aventures ? Tu ne seras pas déçu(e) ! Ma vie sexuelle est si variée... Alors si tu es prêt(e), entre dans mon univers...
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