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krinxxx

Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 21:55
Bonjour à toutes et à tous. Je reviens hélas pour vous annoncer la fin de ce blog. J'avoue que cela aura été pour moi une belle aventure et l'occasion d'interessantes rencontres, mais, hélas pour moi, il rime aussi avec pas mal de mésaventures...
Certains d'entre vous le savent, j'ai eu quelques problèmes informatiques à la maison, ce qui m'a poussée à utiliser les bécanes au boulot... et j'ai fini par me faire piquer !
D'abord par un collègue qui m'a reconnue et qui m'a forcée à coucher avec lui pour le prix de son silence... puis par le patron qui m'a virée !
Mais le pire c'est qu'Amandine, suite à ces mésaventures, m'a posé un ultimatum (elle a détesté apprendre que j'ai été "violée" par ce con...) : J'arrête mon blog ou elle me quitte...
Désolée pour vous toutes et tous qui m'avez suivie et encouragée, mais, comme vous vous en doutez, c'est elle que j'ai choisie...
En attendant de le fermer définitivement, je laisse ouvertes ces quelques pages de mon livre inachevé...
Bisous encore et merci.
Karine
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 15:01
La lecture récente d'une anthologie érotique m'a donnée l'idée de laisser la parole à quelqu'un de très proche. Ce n'est donc pas moi qui vous écrit aujourd'hui. Je laisse ma plume à... Tentation :

        Je m'appelle "Tentation". J'habite dans le deuxième tiroir du haut d'une commode en teck. Parfois, je reste plusieurs heures sur la tablette du haut, soit dans l'attente d'être rangée, soit pour être portée par ma maîtresse...
    Sans vouloir me vanter, je crois pouvoir dire que je suis la petite culotte préférée de Karine. Non pas que je sois la plus jolie, mais je suis celle qu'elle choisit le plus souvent pour ses aventures coquines, lorsqu'elle à l'intention de profiter de mon caractère provocateur, afin de déclencher le désir chez son (ou sa) partenaire...
    Très fine, faite de tulle translucide sur le devant, échancrée sur les côtés, je disparait à l'arrière entre les globes des fesse de ma maîtresse, ne réapparaissant que très haut pour laisser voir un coeur brodé finement qui rejoint la ceinture. De plus, par rapport à mes voisines de tiroir, j'ai l'avantage d'avoir été choisie par la petite amie de ma maîtresse, la douce Amandine...
    Un jour, Karine m'avait sortie pour la parer de toute ma sensualité. Il faisait chaud ce jour là, et elle avait eu la bonne idée de ne me couvrir que d'une très légère jupette courte, très courte. Elle sait que je déteste être compressée par un vulgaire pantalon épais, au tissus rêche que l'on appelle "Jean". Je savais d'instinct qu'elle m'avait élue pour m'emmener dans une nouvelle expérience érotique dont elle raffole, et j'avais hâte de vivre la suite de cette sortie...
    Les longues jambes fuselées de Karine nous entraînèrent en bas de l'immeuble où nous attendait une voiture. La belle s'est penchée pour y pénétrer et a soulevé l'arrière de sa jupe pour, comme à son habitude, poser ses fesses nues à même le cuir des sièges. Elle s'est alors penchée vers le chauffeur pour échanger un baiser brûlant, du moins j'ai pu l'imaginer à la chaude humidité parfumée qui me mouilla aussitôt... (à suivre)
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 09:51
    Bonjour et bonne semaine à toutes et à tous...
    Je reprends enfin l'aventure sur over-blog pour vous raconter... la surprise d'Amandine : En effet, elle m'a vraiment épatée, mais lisez plutôt :

    Vendredi soir, comme je rentrais du boulot, elle m'attendait avec impatience. Toute attentionnée, elle me saute au cou, m'embrasse avec passion, se serrant très fort contre moi. Jusque là, rien d'extraordinaire, me direz-vous... Comme de bien enttendu, je réponds à son baiser avec autant de fougue, sentant une vague de chaleur m'envahir. Quel accueil agréable !
    Elle m'entraîne ensuite au salon où elle avait préparé un apéro. Nous sirotons en nous racontant notre journée... Elle me dit qu'elle a envie de jouer un peu à la dominatrice. Amusée et excitée, j'accepte immédiatement. Elle se lève et revient avec une paire de menottes avec lesquelles elle m'attache sur un fauteuil, puis elle quitte le salon pour revenir quelques instants plus tard... avec une fille que je ne connais pas. Une brune d'une trentaine d'année, très belle, vétue d'une longue tunique portée sur une jupe extra courte dévoilant ses longues jambes bronzées...
    Elles s'installent devant moi sur le canapé et Amandine prend la parole :
    - Tu sais que j'ai toujours accepté tes aventures... même depuis que nous sommes ensemble ?
    - Euh... Oui, mais... Je ne t'ai jamais rien caché ! je réponds, un peu inquiète. En effet, je ne m'attendais pas à ça après un tel accueil, et je commençais à craindre le pire.
    - Rassure-toi ! Je ne remets absolument pas en cause nos accords, ma chérie. Seulement, j'ai juste envie de te montrer que, moi aussi, j'ai des occasions, et tu vas justement t'en rendre compte... Je te présente Sophie, que j'ai rencontrée la semaine dernière...
    Et elle commence à embrasser la fille à ses côtés tout en me regardant. Elles me montrent leurs langues qui se mèlent, leurs mains qui carressent leurs jambes... J'assiste impuissante au plus beau spectacle qui soit. Sophie écarte les jambes pour ouvrir le chemin aux doigts d'Amandine qui ne se privent pas. Ma concubine passe la main dans la culotte de la brune, et je vois par transparence ses doigts jouer avec le sexe rasé de sa partenaire. Je sens mon sexe suinter d'une chaude liqueur et je tire sur mes poignets mais impossible de me dégager...
    Maintenant, elles se lèvent et se déshabillent mutuellement. Très vite, elles sont nues devant moi et reprennent leurs carresses. Sophie suce doucement les pointes dressées des seins d'Amandine et je sens mes tétons se tendre également. Les doigts d'Amandine fouillent maintenant la chatte de Sophie, écartant les lèvres pour bien me montrer l'humidité de l'excitation... Je mouille comme une folle, frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour attiser le plaisir qui monte en moi...
    S'ensuit un tête-bêche où les filles se boivent mutuellement. Toujours attachée, je suis la spectatrice privilégie d'un show torride qui m'emporte. Bien sûr, j'aurais voulu être libre et me jeter sur elles, participer à leurs ébats, mais la position imposée par ma chérie me donne un autre plaisir... violent, et me voilà partie dans un premier orgasme, sans même pouvoir me toucher... alors que les deux partenaires jouissent ensemble, emportées par de vraies carresses...
    Ce petit jeu a duré encore le temps qu'elles prennent leur plaisir plusieurs fois, de leurs langues, leurs doigts... puis elles se sont approchées de moi et m'ont léchée chacune à son tour... Je m'offrais impudiquement à leurs bouches, hurlant mon plaisir décuplé par le spectacle qui avait précédé... Elles recueillirent ma mouille ensemble en s'embrassant contre mon sexe trempé, puis me débarassèrent des menotes pour me déshabiller complètement...
    Enfin libérée, je me jetais sur elles... Nous avons fait l'amour presque toute la nuit sans discontinuer. Bien sûr, je me promets de rendre à Amandine ce cadeau merveilleux qu'elle m'a fait, mais j'avoue que je suis à court d'idées, pour l'instant du moins... Qui pourra me suggérer un scénario digne du sien ? J'attends vos commentaire et vos suggestions avec impatience.

    Bisous coquins à tou(te)s - Votre Karine, enfin de retour...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Vendredi 1 juin 5 01 /06 /Juin 15:12
Fantasme...
   Ils sont beaux. On se retourne sur leur passage. Raoul est grand, mince, le crâne rasé. Il peut avoir 25 ans. Il est chercheur en informatique et micro technique.
    Nadine est toute fine, la peau brune et les cheveux noirs. Elle danse. Elle est toute jeunette encore, vêtue d’un mouchoir de tissu qui cache juste ses fesses plates et ses minuscules seins.
    Ils s’aiment et font l’amour aussi souvent que possible. Plusieurs fois par jour. Avec fougue.
    Mais Raoul est inquiet.
    Il se demande s’il lui suffit. Pourtant il n’est pas timoré, au contraire. Il a un sexe vigoureux et long. De belles couilles qui pendent bien. Et il comble sa copine, la caresse avec art et amour. Nadine jouit toujours très fort. Elle affirme être comblée. Mais elle est si vite remise, si souvent demandeuse que Raoul devrait la baiser en permanence.
    Que fait-elle en son absence ? Il l’a souvent surprise à se masturber. Il la gronde, affirme qu’il arrive. Et c’est chaque fois le grand tourbillon.
    Un jour, en passant devant un magasin de sexe, elle lui demande d’acheter un vibro. Il est un peu vexé tout de même, mais s’incline. Aussitôt rentré, ils baisent. Deux fois, trois fois. Puis Nadine prend le vibro et s’envoie en l’air encore trois ou quatre fois. J’ai mon compte, enfin. Et elle s’endort. Oui, Raoul est inquiet, et pas vraiment content.
    Quelques jours plus tard, en rentrant, il la trouve morose. Elle est nue sur le lit, le vibro, qui ne fonctionne pas, à la main. Elle le passe entre les fines lèvres de son sexe, accrochant au passage le petit anneau qui lui traverse le clitoris. Raoul ne voulait pas qu’elle se fasse percer à cet endroit. Mais il a cédé, comme pour le reste.
    Elle lui saute dessus, le renverse, le déshabille, folle d’impatience. Elle est délicieuse, souple, chaude. Elle a une odeur de jeune fille qui ravit et désespère Raoul. Et ils font l’amour.
    Puis elle lui raconte qu’elle a épuisé trois jeux de piles dans ce foutu vibro, qu’il n’est pas assez gros et ne vibre pas assez. S’il te plait, Raoul, achète-m’en un plus gros. Un qui s’accroche à la taille.
    Il cède. Il revient avec un énorme truc, muni de sangle de fixation. Un peu triste, il l’enfile lui-même à Nadine, écarte les fines lèvres du sexe, enfonce l’engin, fixe les sangles. Et la voilà qui part. Une fois, deux fois, dix fois. Tout ce temps, il la caresse. Partout. Il frotte ses joues sur la fine peau à l’intérieur de cuisses. Il lui croque ses petits seins, il l’embrasse sur la bouche.
    Et voilà que les piles sont plates.
    C’est invraisemblable ! Tu pourrais faire quelque chose, je ne sais pas, débrouilles-toi.
    Il achète un transformateur, le branche sur le secteur. Nadine est contente. Quand Raoul rentre, il voit bien qu’elle à dû se branler toute la journée. Ce serait encore mieux, dit-elle, si je pouvais crocher mon petit anneau du clitoris sur le vibro… Dis mon amour que se serait mieux. Il le dit. Sera-t-elle jamais contente ?
    Mais le vibro, à force de satisfaire cette petite nymphomane, grille. La fille est à bout, méchante. Il ne peut pas la consoler. C’est sa faute, à Raoul. Spécialiste en micro mécanique et pas foutu de faire marcher un minable vibro. Elle ne l’aime plus.
    Il part, emportant l’appareil coupable. Il s’enferme longtemps dans son laboratoire. Il remplace le mécanisme défaillant par ce qui se fait de mieux, ajoute un crochet pour fixer le fameux anneau. Il remplace le simple interrupteur par un variateur de vitesse. Il renforce les sangles. A pleine vitesse, il ne peut plus le tenir dans la main. Il le fait fonctionner des heures durant. C’est devenu un appareil professionnel, capable de très hautes performances, qui ne chauffe pas, ne se fatigue pas. Les marchands d’accessoires spécialisés lui achèteraient son invention à prix d’or. Ce truc peut faire jouir un dinosaure.
    Il rentre. Nadine n’est qu’une petite chose blottie dans son lit. Ils s’aiment. Tendrement. Le matin, il lui promet de revenir déjeuner avec elle, et part en lui donnant l’appareil. Elle est ravie. Elle imagine alors de lui préparer une surprise. Toute la matinée, totalement nue, elle s’active, prépare des cordages, essaye des nœuds compliqués.
    Elle finit par se mettre, toujours nue, sur le lit. Elle s’attache soigneusement les chevilles aux pieds du lit, les jambes écartées, tendues. Elle installe alors le super sexe factice, avec soin. L’enfonce profondément dans son joli ventre plat. Il est gros, il étire les fines lèvres de son petit con. Elle fixe les sangles bien tendues autour de sa taille fine et croche délicatement le petit anneau du mignon bouton sur le corps du vibro. Son clito lui fait délicieusement mal. Raoul est adorable d’avoir pensé à ce crochet. Elle fait un petit essai. Avec le variateur à peine au quart, elle fait un saut. Diable, se dit-elle, rude machin. Faudra faire attention. Pour l’instant, stop.
    Elle se couche et s’attache la main gauche à la tête du lit, le plus tendu possible. Puis, avec adresse et à l’aide d’un subtil système de nœuds coulant, elle s’attache la main droite. Elle réussit à tirer si bien qu’elle se trouve attachée, bras et jambes écartés, tendue au maximum. Son petit corps, nu sur le drap, est adorable. Elle se secoue, tire, se contorsionne. Ca tient et elle ne peut presque pas bouger. Elle est contente.
    Elle met en marche tout doucement son vibro, un petit dixième, avec le variateur qu’elle a gardé dans sa main. Mmmm ! Le paradis. Et elle pense à Raoul. Elle l’aime. Il ne devrait plus tarder. Il va être surpris. Elle se réjouit de jouir devant lui, longtemps, très longtemps.
    Raoul aussi pense à Nadine. Il n’est pas inquiet. La nuit avait été bonne et ce matin, elle était calme. Il est juste un peu contrarié car son chef de laboratoire ne veut pas le lâcher. Il faut avancer dans une expérience.
    Il décide de téléphoner à Nadine. Bien sûr, elle ne répond pas. Il est loin de se douter pourquoi. Au contraire, il est content. Si elle est sortie, c’est qu’elle va mieux. Elle est chez sa sœur ou alors elle courre les magasins de fringues. Il sourit en l’imaginant dans une cabine d’essayage, sans sous-vêtement, comme toujours. Oh! Calme, ce n’est pas le moment. Il reprend son travail.
    Mais chez Nadine, ça ne se passe pas tout à fait comme prévu. Toute à son plaisir, elle ne s’attend pas à une sonnerie de téléphone. Aussi sursaute-t-elle violemment. Un véritable spasme. Sa main se crispe et elle pousse le curseur du variateur au maximum. Son ventre réagit en bondissant et elle lâche l’interrupteur.
    C’est la tempête. Impossible de reprendre, à terre, le cordon électrique. Impossible de rien arrêter. Et même le pourrait-elle, aurait-elle l’esprit à pousser le curseur ?
    Son corps nu se tend, se tord. Elle s’arque, se soulève sur les talons et la nuque. Elle ne crie même pas. Son vagin reçoit les plus terribles caresses que jamais corps de fille aurait pu penser recevoir. Son clitoris s’allonge et vibre si fort qu’il ondoie. Tout de suite, une terrible jouissance la prend. Son corps, sa tête, son âme même jouissent.
    Et cela dure. Ses liens ne cèdent pas. L’appareil ne surchauffe pas. Au contraire, il donne le meilleur de lui-même. Elle ne compte plus les orgasmes. Sûrement plus de cent. Son esprit est traversé de visions. Elle voit des sexes gigantesques sur lesquelles elle s’empale. Il lui semble que son bouton mesure des mètres et est enroulé autour de son ventre.
    Ses seins aussi participes à la fête. Les vibrations sont si fortes que, même minuscules, ses tétons ballottent et lui font délicieusement mal.
    Elle ne pense plus mais elle jouit toujours. Le temps, beaucoup de temps a passé. Ses chevilles et ses poignets sont passablement entamés. Les liens ne sont pas relâchés.
    Elle entend vaguement des sonneries. Dans son délire elle croit que ses seins sont devenus des cloches. Elle les imagine séparés de son corps, simplement retenu par le clitoris démesurément allongé. Puis son bouton enfle, enfle. Elle croit ne plus pouvoir marcher.
    Les sonneries, ce n’est pas les seins, mais Raoul qui appelle. Il veut lui dire qu’il passe encore la soirée au labo. Ce silence l’inquiète un peu. Elle a du rencontrer une copine.
    Elle continue de jouir. Elle a son compte. Et Raoul rentre, tout de suite horrifié. Il se précipite, arrache la prise électrique. Elle gémit. Il veut défaire les liens, commence par retirer le vibro.
    Elle ouvre les yeux. Tu es là ? Alors, je suis sûrement au paradis. Tais-toi ma puce, ma toute petite chose. C’est fini, je suis là Le sexe de la petite n’est plus tout à fait pareil et son clitoris fait bien quatre ou cinq centimètres. Raoul pleure et la couvre de baisers.
    C’est bon mon Raoul, embrasse-moi. C’est doux ce que tu me fais. Continue. Je t’en supplie, fais-moi l’amour. Il est surpris. Ainsi, maintenant ? Il s’apprête à défaire les liens. Non, laisse-moi attachée, baise-moi comme cela. Ce sera encore meilleur.
    Il ne lui a jamais rien refusé, alors pourquoi pas ? . Il se déshabille, s’allonge doucement sur elle. Il y a déjà longtemps qu’il bande. Dans le fond, il est très excité par la situation. Avec délicatesse, il la pénètre.
    Oh! Mon Raoul, oh! que c’est bon ! Elle est parcourue de frisons. Elle bredouille : enfin, enfin je jouis. Il y a si longtemps que j’attends ça.
    Raoul ne comprend pas, mais jouit aussi.
    Chut, ils dorment.
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Jeudi 10 mai 4 10 /05 /Mai 10:27
Certains de vos commentaires attisent ma curiosité...
Et me donnent envie d'un défi vous lancer :
Choisissez l'article qui vous inspire le plus,
Et montrez-moi son effet s'il vous a ému.
Envoyez-moi dessins, photos, vidéos, textes,
Et je jouirai de ce tendre prétexte,
Pour d'un nouvel article vous faire partager
L'émotion qu'en vous j'aurais sû provoquer...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mercredi 9 mai 3 09 /05 /Mai 14:51
    Salut mes cheri(e)s ! Il m'est arrivé un truc inouï qu'il faut absolument que je vous raconte : en me promenant dans la rue piétonne de Courtrai, je suis tombée sur un type genre beau-gosse, sapé dernier cri, gaulé comme un athlète... bref, pas du tout mon genre, mais qui attirait bizarement mon attention. Il avait quelque chose qui m'intrigait. Mine de rien, je l'approchais, jusqu'à me tenir près de lui devant la vitrine d'un libraire. Se sentant sans doute observé, il touorne la tête vers moi. Je le regarde à mon tour, et... Un flash : Alexandre ! C'était bien Alexandre, un ami de mon ex (Christophe, avec qui j'ai vécu 5 ans et qui m'a donné mon fils avant de devoir s'exiler par mesure de "sécurité", je vous raconterais ça un de ces jours). Lui aussi me reconnût aussitôt :
    - Karine ! C'est bien toi ? Mais c'est pas croyable !
    - Alexandre ! Qu'est-ce que tu fais ici ? Ca fait des années...
    Il me serre dans ses bras, m'embrasse comme le grand frère qu'il était dans mes souvenirs... et je me mets à pleurer ! Tout mon passé ressurgit d'un coup. Christophe, mon amour, le seul et unique amour de ma jeunesse, nos folies, tout me submerge avec cette rencontre incroyable. Et Alexandre, l'ami inséparable, l'amant infatigable de cette époque débridée qui m'a donné l'essentiel des souvenirs que je raconte ici sur ce blog.
    Sans tarder, il m'invite chez lui. Nous y avons parlé de ce passé si dense, de Chris', de nos torrides moments... Hélas, lui non plus n'avait plus de nouvelles de Christophe. Disparu au fin fond de l'Amérique du Sud (on ne sait même pas dans quel pays !). Nous avons bu, discuté de nos vies. Je lui racontais Amandine, mon goût des femmes depuis le départ de Chris... Il ne semblait pas comprendre...
    - Toi, lesbienne ! Mais c'est pas possible ! Après tout ce qu'on a vécu, tous les mecs qui se seraient damnés pour te toucher...
    - Non bien sûr, je lui répondais... J'aime encore les mecs, c'est vrai, mais plus comme avant... Depuis Chris... C'est plus pareil tu comprends ?
    Il me remémorait les aventures que nous avions vécues ensemble... Et l'inévitable se produisit : un climat de besoin s'est installé entre nous à l'évocation de ce passé si riche...
    Je me suis approchée lentement, me suis agenouillée devant lui et ai déboutonné sa chemise. J'ai embrassé son ventre et son torse avant de goûter enfin à sa bouche. Il a glissé sa langue dans ma bouche, d'abord timidement, avant de devenir plus gourmand. Il a déboutonné enfin ma blouse et a embrassé mes seins tendus, les effleurant de la langue jusqu'à ce que les pointes se dressent. J'ai ouvert son pantalon et j'ai dégagé son sexe, et j'ai eu la satisfaction de voir son érection me sauter au visage. J'ai glissé le membre tendu dans ma bouche. Je le tétais avec régal, l'enduisais abondamment de salive, puis le léchais pour l'imprégner à nouveau, admirant le gland gonflé et luisant, et je l'ai englouti plus profondément. J'ai joint une main à ma bouche, la faisant glisser le long du membre qui grossissait encore, le serrant doucement entre mes doigts. Je me suis ensuite relevée et me suis déshabillée. Totalement nue, je me suis allongée sur lui, pressant sa queue gonflée contre mon sexe humide. J'ai sentit sa main s'insinuer entre mes cuisses. Tenant son sexe, il en frottait le gland entre mes lèvres trempées et je le fit glisser en moi, lentement, délicieusement. Mon corps se soulevait progressivement, retombant avec plus de force sur le membre bien dressé, m'empallant avec plaisir. Je le chevauchais avec passion.
    Je me suis ensuite retirée et l'ai attiré avec moi sur le sol où il s'est étendu sur le dos. J'ai alors défait son patanlon et noué ses poignets aux pieds du divan. Mon ventre était noué d'excitation. Je me suis placée au-dessus de lui, un pied de chaque côté de sa tête et je me suis caressée ainsi, glissant un doigt à l'entrée de mon sexe moite, chatouillant la chair tendre, lui offrant un spectacle qui l'excitait visiblement au plus haut point : sa tige plus tendue encore était agitée de soubressauts, semblant battre la mesure. Je me suis agenouillée, posant ma chatte contre sa bouche. Il l'embrassa, lécha, mordilla tant et si bien que je jouis inistantanément. Insatisfaite malgré ce moment merveilleux, je me suis relevée pour m'asseoir sur sa belle queue bandée et me suis remise à le chevaucher.
    Je coulais lentement sa verge en moi, m'abaissant sur lui d'un millimètre à la fois, sentant mes muscles l'enrober peu à peu. Un fois bien ancrée sur son pieu de chair, j'appuyais davantage, sentant tout au fond de mon ventre une merveilleuse pression m'envahir. Je me balançais sur lui, guidant sa main entre mes cuisses. Il me caressait tout en recueillant entre ses doigts la lotion onctueuse qui coulait de mon sexe sur sa queue. J'avais envie de jouir encore. J'accélérais ma chevauchée pour atteindre un rythme effréné, mes fesses claquaient contre ses cuisses, accompagnant le bruit de succion que faisait sa queue dans ma chatte trempée. L'orgasme était imminent. Alexandre s'agitait violemment, tentant de s'enfoncer encore plus en moi. Je me sentis alors innondée de sa jouissance et j'explosais à mon tour, submergée par une vague intense de plaisir. Les contractions ravageaient mes entrailles et j'hurlais de bonheur avant de m'effondrer sur lui, vidée...
    Enlacés, nous nous enivrions de nos soupirs de soulagement après cet extase intense... Je reniflais sa sueur, son odeur de mâle, tandis qu'il me carressait tendrement les cheveux... Et il dit :
    - Si tu veux, je t'emmène. On part tous les deux, demain, et on va retrouver sa trace...
    - Mais...
    - Je prends tout sur moi... Je peux, tu sais... J'ai une vraie petite fortune...
    - Non... C'est plus possible... Plus aujourd'hui....
    - Tu ne veux pas retrouver Christophe ?
    - A vrai dire... Je ne crois pas. Non, tout a changé... Je te l'ai dit : je suis vraiment amoureuse... Je ne peux pas partir comme ça, laisser ma compagne, ma vie... désolée...
    - Je comprends... comme je te connais, tu dois vraiment l'aimer, cette nana...
    - Qu'est-ce que tu dirais de la recontrer... ?
    - Excellente idée... Quand tu veux !
    Tout en discutant ainsi, son sexe reprenais de la consistance... et quelle consistance ! Nous avons fait l'amour encore plusieurs fois avant de nous quitter... Et je lui promis d'organiser une rencontre très prochaine avec Amandine... que je ne manqurais pas de vous raconter, bien entendu !
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Samedi 28 avril 6 28 /04 /Avr 12:09
    Dominique samblait apprécier les caresses d'Amandine. De mon côté, je caressais ses cuisses, remontant discrètement vers l'entrejambe... et je finis par trouver l'objet de ma curiosité. Comment dire ? Elle bandait ! Oui, c'est cela... je continue de parler d'elle au féminin, même en décrivant son sexe, cela correspond mieux aux sensations que je ressentais. Sa queue était raide, pas très grosse mais dure ! Sans cesser de l'embrasser en touillant ses long cheveux, je la branlait lentement, goûtant ses râles de plaisirs.
    Le plus étonnant alors, c'est du côté d'Amandine : elle qui n'aime que les filles (moi surtout lol), elle avait penché son visage vers ma main qui pétrissait la tige raidie de Dominique et se mît à sucer cette queue plantée au coeur de ce corps de femme que nous partagions. J'étais trempée. Je me levais et me déshabillais. Puis j'enlevais les vêtement de Dominique puis ceux d'Amandine. Enfin, je montais au dessus de Dominique, admirant ses seins superbes (faux, certes, mais magnifiques). Amandine guidait le sexe tendu de notre nouvelle amie vers l'entrée de mon vagin et je m'empallais lentement dessus. J'étais dans un état ! Je chevauchais maintenant, tandis que Domi sucait la pointe de mes seins et qu'Amandine léchais les bourses et mon anus alternativement. Mon premier orgasme ne tardat pas...
    Je n'en revenais pas. Cette situation avait réellement quelque chose de magique. Même Amandine semblait perdre toutes ses inhibitions... Elle offrait sa croupe à notre amie qui la pénétrait. J'embrassais ma "fiancée" tout en la félicitant de ce qu'elle était en train de faire, car je n'en revenais pas. Elle acceptait tout simplement de se faire "sauter" !
    Après qu'elle ait joui à son tour, nous nous sommes mises en devoir de donner son bonheur à Domi. Nos bouches se sont ruées sur la queue de notre amante qui ne tarda pas à jouir enfin...
Nous avons refait l'amour plusieurs fois... essayant toutes les possibilités que nous offrait Domi...
    C'était vraiment une expérience incroyable. Car je le répète : Dominique est vraiment, dans son esprit et son corps, un femme ! avec un petit quelque chose en plus ;-)
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mercredi 25 avril 3 25 /04 /Avr 08:59
    Samedi soir, nous nous sommes retrouvées dans un bar que nous fréquentons régulièrement entre filles. Comme d'habitude, il y avait Fabienne, Isabelle, Chantal, et Valérie qui, depuis sa petite soirée d'intronisation (lire : http://krinxxx.over-blog.com/article-5771075.html ), ne nous quitte plus. Amandine était toute excitée. Elle ronronait comme une chatte (coucou Line !) dans les bras d'Isabelle, comme pour me montrer qu'elle voulait rattraper pour son compte mon infidélité (si on peut dire...).
    Et puis d'autres filles venaient nous saluer, certaines connaissant déjà notre groupe nous présentaient leurs amies... ça sentait la partouze géante ! L'une d'entre-elles attirait particulièrement mon attention : Une superbe brune, ultra-féminine, avec de long cheveux lisses, des yeux clairs comme l'eau de source, un visage allongé,... Rapidement, je l'ai abordée et nous nous sommes installées à part.
    Nous avons discuté de choses et d'autres, nos métiers nos passions...Elle me dit qu'elle s'appelait Dominique. Je lui faisait comprendre qu'elle me plaisait beaucoup et elle semblait apprécier.
    La soirée avançait. Les autres filles étaient parties, Amandine nous avait rejointes. Je proposais à Dominique de venir finir la soirée autour d'un verre à la maison. Elle semblait hésiter, puis nous dit de sa voix rauque et chaude :
    - Il faut que je vous dise, les filles : Je ne suis pas... ce que vous croyez...
    - Tu n'aimes pas les filles, c'est ça ? répondit Amandine.
    - Si, au contraire ! Oh, comment vous expliquer...
    Je pris les devants :
    -Bon, écoute, on y va, tu nous explique ça en route, d'accord ?
    Et c'est sur la route qu'elle nous avoua qu'elle n'était pas tout à fait une fille... Dominique était un transsexuel. Il nous expliqua que depuis toujours, il ne se sentait pas "masculin" malgré son corps de garçon et bien qu'il n'était pas homo (il n'aimait pas les garçons, contrairement à l'idée reçue que l'on se fait des trans'). Pour le coup, je croisais le regard d'Amandine qui semblait émoustillée.
    Arrivées à la maison, nous avons bu une coupe, discuté encore, surtout de Dominique, et petit à petit, l'atmosphère s'est érotisée. Amandine s'était rapprochée de Dominique, moi de l'autre côté. Elle me regarda, son regard profond fouillait le mien, mes lèvres se sont rapproché des siennes, et nous nous sommes embrassé. De son côté, Amandine, curieuse, avait écarté les bords de son décolleté, et découvrait une splendide poitrine qu'elle pétrissait en titillant les pointes de sa langue... (à suivre)
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Dimanche 22 avril 7 22 /04 /Avr 15:33
Je n'ai pas le temps de faire un article complet car ce week-end est vraiment un week de folie, mais je le ferai bientôt. Juste pour vous prévenir de son arrivée prochaine, je vous donne le futur titre (pour vous mettre l'eau à la bouche) : J'ai fait l'amour avec un(e) transsexuel(le) !!! C'était la première fois, comme quoi on n'a jamais tout essayé !
A très bientôt et encore mille bisous.
Votre Karine adorée (j'espère)...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mercredi 18 avril 3 18 /04 /Avr 19:39
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Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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