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Blog coquin d'une coquine...

Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 21:55
Bonjour à toutes et à tous. Je reviens hélas pour vous annoncer la fin de ce blog. J'avoue que cela aura été pour moi une belle aventure et l'occasion d'interessantes rencontres, mais, hélas pour moi, il rime aussi avec pas mal de mésaventures...
Certains d'entre vous le savent, j'ai eu quelques problèmes informatiques à la maison, ce qui m'a poussée à utiliser les bécanes au boulot... et j'ai fini par me faire piquer !
D'abord par un collègue qui m'a reconnue et qui m'a forcée à coucher avec lui pour le prix de son silence... puis par le patron qui m'a virée !
Mais le pire c'est qu'Amandine, suite à ces mésaventures, m'a posé un ultimatum (elle a détesté apprendre que j'ai été "violée" par ce con...) : J'arrête mon blog ou elle me quitte...
Désolée pour vous toutes et tous qui m'avez suivie et encouragée, mais, comme vous vous en doutez, c'est elle que j'ai choisie...
En attendant de le fermer définitivement, je laisse ouvertes ces quelques pages de mon livre inachevé...
Bisous encore et merci.
Karine
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mercredi 27 juin 3 27 /06 /Juin 15:01
La lecture récente d'une anthologie érotique m'a donnée l'idée de laisser la parole à quelqu'un de très proche. Ce n'est donc pas moi qui vous écrit aujourd'hui. Je laisse ma plume à... Tentation :

        Je m'appelle "Tentation". J'habite dans le deuxième tiroir du haut d'une commode en teck. Parfois, je reste plusieurs heures sur la tablette du haut, soit dans l'attente d'être rangée, soit pour être portée par ma maîtresse...
    Sans vouloir me vanter, je crois pouvoir dire que je suis la petite culotte préférée de Karine. Non pas que je sois la plus jolie, mais je suis celle qu'elle choisit le plus souvent pour ses aventures coquines, lorsqu'elle à l'intention de profiter de mon caractère provocateur, afin de déclencher le désir chez son (ou sa) partenaire...
    Très fine, faite de tulle translucide sur le devant, échancrée sur les côtés, je disparait à l'arrière entre les globes des fesse de ma maîtresse, ne réapparaissant que très haut pour laisser voir un coeur brodé finement qui rejoint la ceinture. De plus, par rapport à mes voisines de tiroir, j'ai l'avantage d'avoir été choisie par la petite amie de ma maîtresse, la douce Amandine...
    Un jour, Karine m'avait sortie pour la parer de toute ma sensualité. Il faisait chaud ce jour là, et elle avait eu la bonne idée de ne me couvrir que d'une très légère jupette courte, très courte. Elle sait que je déteste être compressée par un vulgaire pantalon épais, au tissus rêche que l'on appelle "Jean". Je savais d'instinct qu'elle m'avait élue pour m'emmener dans une nouvelle expérience érotique dont elle raffole, et j'avais hâte de vivre la suite de cette sortie...
    Les longues jambes fuselées de Karine nous entraînèrent en bas de l'immeuble où nous attendait une voiture. La belle s'est penchée pour y pénétrer et a soulevé l'arrière de sa jupe pour, comme à son habitude, poser ses fesses nues à même le cuir des sièges. Elle s'est alors penchée vers le chauffeur pour échanger un baiser brûlant, du moins j'ai pu l'imaginer à la chaude humidité parfumée qui me mouilla aussitôt... (à suivre)
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Lundi 25 juin 1 25 /06 /Juin 09:51
    Bonjour et bonne semaine à toutes et à tous...
    Je reprends enfin l'aventure sur over-blog pour vous raconter... la surprise d'Amandine : En effet, elle m'a vraiment épatée, mais lisez plutôt :

    Vendredi soir, comme je rentrais du boulot, elle m'attendait avec impatience. Toute attentionnée, elle me saute au cou, m'embrasse avec passion, se serrant très fort contre moi. Jusque là, rien d'extraordinaire, me direz-vous... Comme de bien enttendu, je réponds à son baiser avec autant de fougue, sentant une vague de chaleur m'envahir. Quel accueil agréable !
    Elle m'entraîne ensuite au salon où elle avait préparé un apéro. Nous sirotons en nous racontant notre journée... Elle me dit qu'elle a envie de jouer un peu à la dominatrice. Amusée et excitée, j'accepte immédiatement. Elle se lève et revient avec une paire de menottes avec lesquelles elle m'attache sur un fauteuil, puis elle quitte le salon pour revenir quelques instants plus tard... avec une fille que je ne connais pas. Une brune d'une trentaine d'année, très belle, vétue d'une longue tunique portée sur une jupe extra courte dévoilant ses longues jambes bronzées...
    Elles s'installent devant moi sur le canapé et Amandine prend la parole :
    - Tu sais que j'ai toujours accepté tes aventures... même depuis que nous sommes ensemble ?
    - Euh... Oui, mais... Je ne t'ai jamais rien caché ! je réponds, un peu inquiète. En effet, je ne m'attendais pas à ça après un tel accueil, et je commençais à craindre le pire.
    - Rassure-toi ! Je ne remets absolument pas en cause nos accords, ma chérie. Seulement, j'ai juste envie de te montrer que, moi aussi, j'ai des occasions, et tu vas justement t'en rendre compte... Je te présente Sophie, que j'ai rencontrée la semaine dernière...
    Et elle commence à embrasser la fille à ses côtés tout en me regardant. Elles me montrent leurs langues qui se mèlent, leurs mains qui carressent leurs jambes... J'assiste impuissante au plus beau spectacle qui soit. Sophie écarte les jambes pour ouvrir le chemin aux doigts d'Amandine qui ne se privent pas. Ma concubine passe la main dans la culotte de la brune, et je vois par transparence ses doigts jouer avec le sexe rasé de sa partenaire. Je sens mon sexe suinter d'une chaude liqueur et je tire sur mes poignets mais impossible de me dégager...
    Maintenant, elles se lèvent et se déshabillent mutuellement. Très vite, elles sont nues devant moi et reprennent leurs carresses. Sophie suce doucement les pointes dressées des seins d'Amandine et je sens mes tétons se tendre également. Les doigts d'Amandine fouillent maintenant la chatte de Sophie, écartant les lèvres pour bien me montrer l'humidité de l'excitation... Je mouille comme une folle, frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour attiser le plaisir qui monte en moi...
    S'ensuit un tête-bêche où les filles se boivent mutuellement. Toujours attachée, je suis la spectatrice privilégie d'un show torride qui m'emporte. Bien sûr, j'aurais voulu être libre et me jeter sur elles, participer à leurs ébats, mais la position imposée par ma chérie me donne un autre plaisir... violent, et me voilà partie dans un premier orgasme, sans même pouvoir me toucher... alors que les deux partenaires jouissent ensemble, emportées par de vraies carresses...
    Ce petit jeu a duré encore le temps qu'elles prennent leur plaisir plusieurs fois, de leurs langues, leurs doigts... puis elles se sont approchées de moi et m'ont léchée chacune à son tour... Je m'offrais impudiquement à leurs bouches, hurlant mon plaisir décuplé par le spectacle qui avait précédé... Elles recueillirent ma mouille ensemble en s'embrassant contre mon sexe trempé, puis me débarassèrent des menotes pour me déshabiller complètement...
    Enfin libérée, je me jetais sur elles... Nous avons fait l'amour presque toute la nuit sans discontinuer. Bien sûr, je me promets de rendre à Amandine ce cadeau merveilleux qu'elle m'a fait, mais j'avoue que je suis à court d'idées, pour l'instant du moins... Qui pourra me suggérer un scénario digne du sien ? J'attends vos commentaire et vos suggestions avec impatience.

    Bisous coquins à tou(te)s - Votre Karine, enfin de retour...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mercredi 20 juin 3 20 /06 /Juin 07:59
J'ai le plaisir de vous faire partager ce texte très coquin qu'un admirateur m'a envoyé suite à sa visite sur mon blog. Je l'ai trouvé si original que j'ai ressenti le besoin de le publier ici :

Je me suis retrouvé sur ton site en surfant depuis une revue érotique à laquelle je participe et qui vient de me décerner le prix de la nouvelle érotique.

Apparemment, tu es plutôt lesbienne, ce qui me donne peu de chance de te donner envie de me rencontrer. Tant pis.
Je voulais juste te dire combien d’une part je te trouve “bandante” (désolé) et combien tu as allumé ma curiosité intellectuelle aussi, avec ton site assez riche en propositions artistiques, et bien écrit.

Du coup, je t’écris ce mot à poil, le sexe perlé d’une goutte gluante, moitié en érection, très excité. Je regarde les photos de toi, ton si joli visage, ta vulve offerte, ton anus dont je reprendrais volontiers la caresse.
Je suis à mon bureau, on peut me voir par la fenête, l’immeuble en face n’est pas loin.
Je croise les jambes, roulant fortement mes couilles, mes fesses s’écartent au point que mon trou frotte la toile du fauteuil.
J’aimerais te parler, que tu sois là bien en chair avec ton air espiègle, te moquant gentiment de mon excitation, saisissant brusquement ma queue et la décalottant avec violence.

J’ai 45 ans, tu en as au moins 15 de moins. Néanmoins je suis encore un très bel homme, de ceux, rares, qui font souvent se retourner les femmes et frémir les jeunes filles.
Là, j’ai mis la photo de toi en masturbation pendant un chat, tes yeux fermés sur le plaisir que tu cherches, tes doigts écartant ta vulve rose. Je regarde tes seins, j’ai envie de leur effleurer le téton du bout de mon gland, de lécher longuement le bijou dans ton nombril.
Je bande tout à fait maintenant. En face, une voisine est à sa fenêtre, on se connaît de loin, mais assez intimement. Elle a repéré que souvent à cette heure de prends mes aises au bureau. La première fois, j’ai eu très peur, je ne l’avais pas vue, j’étais en train de m’enculer avec un stylo feutre, un gros Marker quand je me suis aperçu de sa présence. Je me suis immédiatement caché, mais quand je suis revenu, quelques minutes plus tard, elle était toujours là, ne bougeait pas, elle avait simplement ôté son T-shirt et me montrait ostensiblement ses seins. Je me suis branlé devant elle, jusqu’à juter tout mon sperme sur le carrelage. Elle m’a regardé le ramasser, puis me rhabiller, en me faisant un petit signe du pouce, pour me dire un truc comme “c’était bien, merci”.

Nous ne nous sommes jamais croisés dans le quartier, mais elle revient donc souvent, l’après-midi vers 16h se poster à sa fenêtre et regarder mes frasques. Elle connaît tout de mon anatomie, tout de mes fantasmes masturbatoires. J’en ai même inventés juste pour elle, et là, pendant que je t’écris ça, elle me regarde m’exciter.

Je me suis levé un instant pour lui montrer ma queue raidie, mes fesses. J’ai fait signe que j’allais essayer de me surpasser, lui montrant mon anus et une bouteille de Campari posée sur mon bureau. Je reviens à toi pour te dire à bientôt j’espère, et en toute hypothèse bravo. J’ai décidé de me pénétrer l’anus devant ma voisine et d’entrer la bouteille jusqu’au point large. Je voudrais qu’elle voit ma rondelle complètement dilatée, aujourd’hui. Je ne l’ai jamais fait, ça va être “sportif”. Je le ferai pour toi et pour elle après je juterai partout.

Bises,

-- S.

Bien sûr, si vous aussi souhaitez partager avec moi de telles expériences, n'hésitez pas à me faire parvenir vos récits.
Bisous à tous


Par Karine Kokine - Publié dans : Contributions
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Mardi 5 juin 2 05 /06 /Juin 10:01
Salut à tous ! J'espère que vous avez passé un bon week-end.
Pour commencer cette semaine comme il se doit, je vous propose de visionner cette scène coupée de "Basic Instinct 2" dans laquelle vous pourrez admirer La délicieuse Sharon Stone nous dévoiler sa vraie sexualité...
N'hésitez pas à me faire part de vos réactions !

Par Karine Kokine - Publié dans : Vidéo
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Vendredi 1 juin 5 01 /06 /Juin 15:12
Fantasme...
   Ils sont beaux. On se retourne sur leur passage. Raoul est grand, mince, le crâne rasé. Il peut avoir 25 ans. Il est chercheur en informatique et micro technique.
    Nadine est toute fine, la peau brune et les cheveux noirs. Elle danse. Elle est toute jeunette encore, vêtue d’un mouchoir de tissu qui cache juste ses fesses plates et ses minuscules seins.
    Ils s’aiment et font l’amour aussi souvent que possible. Plusieurs fois par jour. Avec fougue.
    Mais Raoul est inquiet.
    Il se demande s’il lui suffit. Pourtant il n’est pas timoré, au contraire. Il a un sexe vigoureux et long. De belles couilles qui pendent bien. Et il comble sa copine, la caresse avec art et amour. Nadine jouit toujours très fort. Elle affirme être comblée. Mais elle est si vite remise, si souvent demandeuse que Raoul devrait la baiser en permanence.
    Que fait-elle en son absence ? Il l’a souvent surprise à se masturber. Il la gronde, affirme qu’il arrive. Et c’est chaque fois le grand tourbillon.
    Un jour, en passant devant un magasin de sexe, elle lui demande d’acheter un vibro. Il est un peu vexé tout de même, mais s’incline. Aussitôt rentré, ils baisent. Deux fois, trois fois. Puis Nadine prend le vibro et s’envoie en l’air encore trois ou quatre fois. J’ai mon compte, enfin. Et elle s’endort. Oui, Raoul est inquiet, et pas vraiment content.
    Quelques jours plus tard, en rentrant, il la trouve morose. Elle est nue sur le lit, le vibro, qui ne fonctionne pas, à la main. Elle le passe entre les fines lèvres de son sexe, accrochant au passage le petit anneau qui lui traverse le clitoris. Raoul ne voulait pas qu’elle se fasse percer à cet endroit. Mais il a cédé, comme pour le reste.
    Elle lui saute dessus, le renverse, le déshabille, folle d’impatience. Elle est délicieuse, souple, chaude. Elle a une odeur de jeune fille qui ravit et désespère Raoul. Et ils font l’amour.
    Puis elle lui raconte qu’elle a épuisé trois jeux de piles dans ce foutu vibro, qu’il n’est pas assez gros et ne vibre pas assez. S’il te plait, Raoul, achète-m’en un plus gros. Un qui s’accroche à la taille.
    Il cède. Il revient avec un énorme truc, muni de sangle de fixation. Un peu triste, il l’enfile lui-même à Nadine, écarte les fines lèvres du sexe, enfonce l’engin, fixe les sangles. Et la voilà qui part. Une fois, deux fois, dix fois. Tout ce temps, il la caresse. Partout. Il frotte ses joues sur la fine peau à l’intérieur de cuisses. Il lui croque ses petits seins, il l’embrasse sur la bouche.
    Et voilà que les piles sont plates.
    C’est invraisemblable ! Tu pourrais faire quelque chose, je ne sais pas, débrouilles-toi.
    Il achète un transformateur, le branche sur le secteur. Nadine est contente. Quand Raoul rentre, il voit bien qu’elle à dû se branler toute la journée. Ce serait encore mieux, dit-elle, si je pouvais crocher mon petit anneau du clitoris sur le vibro… Dis mon amour que se serait mieux. Il le dit. Sera-t-elle jamais contente ?
    Mais le vibro, à force de satisfaire cette petite nymphomane, grille. La fille est à bout, méchante. Il ne peut pas la consoler. C’est sa faute, à Raoul. Spécialiste en micro mécanique et pas foutu de faire marcher un minable vibro. Elle ne l’aime plus.
    Il part, emportant l’appareil coupable. Il s’enferme longtemps dans son laboratoire. Il remplace le mécanisme défaillant par ce qui se fait de mieux, ajoute un crochet pour fixer le fameux anneau. Il remplace le simple interrupteur par un variateur de vitesse. Il renforce les sangles. A pleine vitesse, il ne peut plus le tenir dans la main. Il le fait fonctionner des heures durant. C’est devenu un appareil professionnel, capable de très hautes performances, qui ne chauffe pas, ne se fatigue pas. Les marchands d’accessoires spécialisés lui achèteraient son invention à prix d’or. Ce truc peut faire jouir un dinosaure.
    Il rentre. Nadine n’est qu’une petite chose blottie dans son lit. Ils s’aiment. Tendrement. Le matin, il lui promet de revenir déjeuner avec elle, et part en lui donnant l’appareil. Elle est ravie. Elle imagine alors de lui préparer une surprise. Toute la matinée, totalement nue, elle s’active, prépare des cordages, essaye des nœuds compliqués.
    Elle finit par se mettre, toujours nue, sur le lit. Elle s’attache soigneusement les chevilles aux pieds du lit, les jambes écartées, tendues. Elle installe alors le super sexe factice, avec soin. L’enfonce profondément dans son joli ventre plat. Il est gros, il étire les fines lèvres de son petit con. Elle fixe les sangles bien tendues autour de sa taille fine et croche délicatement le petit anneau du mignon bouton sur le corps du vibro. Son clito lui fait délicieusement mal. Raoul est adorable d’avoir pensé à ce crochet. Elle fait un petit essai. Avec le variateur à peine au quart, elle fait un saut. Diable, se dit-elle, rude machin. Faudra faire attention. Pour l’instant, stop.
    Elle se couche et s’attache la main gauche à la tête du lit, le plus tendu possible. Puis, avec adresse et à l’aide d’un subtil système de nœuds coulant, elle s’attache la main droite. Elle réussit à tirer si bien qu’elle se trouve attachée, bras et jambes écartés, tendue au maximum. Son petit corps, nu sur le drap, est adorable. Elle se secoue, tire, se contorsionne. Ca tient et elle ne peut presque pas bouger. Elle est contente.
    Elle met en marche tout doucement son vibro, un petit dixième, avec le variateur qu’elle a gardé dans sa main. Mmmm ! Le paradis. Et elle pense à Raoul. Elle l’aime. Il ne devrait plus tarder. Il va être surpris. Elle se réjouit de jouir devant lui, longtemps, très longtemps.
    Raoul aussi pense à Nadine. Il n’est pas inquiet. La nuit avait été bonne et ce matin, elle était calme. Il est juste un peu contrarié car son chef de laboratoire ne veut pas le lâcher. Il faut avancer dans une expérience.
    Il décide de téléphoner à Nadine. Bien sûr, elle ne répond pas. Il est loin de se douter pourquoi. Au contraire, il est content. Si elle est sortie, c’est qu’elle va mieux. Elle est chez sa sœur ou alors elle courre les magasins de fringues. Il sourit en l’imaginant dans une cabine d’essayage, sans sous-vêtement, comme toujours. Oh! Calme, ce n’est pas le moment. Il reprend son travail.
    Mais chez Nadine, ça ne se passe pas tout à fait comme prévu. Toute à son plaisir, elle ne s’attend pas à une sonnerie de téléphone. Aussi sursaute-t-elle violemment. Un véritable spasme. Sa main se crispe et elle pousse le curseur du variateur au maximum. Son ventre réagit en bondissant et elle lâche l’interrupteur.
    C’est la tempête. Impossible de reprendre, à terre, le cordon électrique. Impossible de rien arrêter. Et même le pourrait-elle, aurait-elle l’esprit à pousser le curseur ?
    Son corps nu se tend, se tord. Elle s’arque, se soulève sur les talons et la nuque. Elle ne crie même pas. Son vagin reçoit les plus terribles caresses que jamais corps de fille aurait pu penser recevoir. Son clitoris s’allonge et vibre si fort qu’il ondoie. Tout de suite, une terrible jouissance la prend. Son corps, sa tête, son âme même jouissent.
    Et cela dure. Ses liens ne cèdent pas. L’appareil ne surchauffe pas. Au contraire, il donne le meilleur de lui-même. Elle ne compte plus les orgasmes. Sûrement plus de cent. Son esprit est traversé de visions. Elle voit des sexes gigantesques sur lesquelles elle s’empale. Il lui semble que son bouton mesure des mètres et est enroulé autour de son ventre.
    Ses seins aussi participes à la fête. Les vibrations sont si fortes que, même minuscules, ses tétons ballottent et lui font délicieusement mal.
    Elle ne pense plus mais elle jouit toujours. Le temps, beaucoup de temps a passé. Ses chevilles et ses poignets sont passablement entamés. Les liens ne sont pas relâchés.
    Elle entend vaguement des sonneries. Dans son délire elle croit que ses seins sont devenus des cloches. Elle les imagine séparés de son corps, simplement retenu par le clitoris démesurément allongé. Puis son bouton enfle, enfle. Elle croit ne plus pouvoir marcher.
    Les sonneries, ce n’est pas les seins, mais Raoul qui appelle. Il veut lui dire qu’il passe encore la soirée au labo. Ce silence l’inquiète un peu. Elle a du rencontrer une copine.
    Elle continue de jouir. Elle a son compte. Et Raoul rentre, tout de suite horrifié. Il se précipite, arrache la prise électrique. Elle gémit. Il veut défaire les liens, commence par retirer le vibro.
    Elle ouvre les yeux. Tu es là ? Alors, je suis sûrement au paradis. Tais-toi ma puce, ma toute petite chose. C’est fini, je suis là Le sexe de la petite n’est plus tout à fait pareil et son clitoris fait bien quatre ou cinq centimètres. Raoul pleure et la couvre de baisers.
    C’est bon mon Raoul, embrasse-moi. C’est doux ce que tu me fais. Continue. Je t’en supplie, fais-moi l’amour. Il est surpris. Ainsi, maintenant ? Il s’apprête à défaire les liens. Non, laisse-moi attachée, baise-moi comme cela. Ce sera encore meilleur.
    Il ne lui a jamais rien refusé, alors pourquoi pas ? . Il se déshabille, s’allonge doucement sur elle. Il y a déjà longtemps qu’il bande. Dans le fond, il est très excité par la situation. Avec délicatesse, il la pénètre.
    Oh! Mon Raoul, oh! que c’est bon ! Elle est parcourue de frisons. Elle bredouille : enfin, enfin je jouis. Il y a si longtemps que j’attends ça.
    Raoul ne comprend pas, mais jouit aussi.
    Chut, ils dorment.
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mercredi 30 mai 3 30 /05 /Mai 10:25
J'ai envie de vous montrer aujourd'hui quelques exemples d'images que vous pouvez trouver sur les pages perso de mes amies d'IMVU :






et d'autre dans cet album...

Par Karine Kokine - Publié dans : imvu
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Mardi 29 mai 2 29 /05 /Mai 16:03
J'ai le plaisir de vous présenter aujourd'hui une chaude admiratrice qui a bien voulu me montrer l'état dans lequel elle était après sa visite sur mon blog :



Voici le message qui accompagnait cette splendide vidéo :
"Karine, ma belle et chaude Karine, je n'ai pas ton talent pour trouver les mots pour te dire ce que je ressents quand je lis tes histoires, alors je préfère te montrer ce que tu me pousses à faire..."

Je pense en effet qu'elle se passe très bien des mots, pas vous ?
Par Karine Kokine - Publié dans : Contributions
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Vendredi 25 mai 5 25 /05 /Mai 14:31
Cette fois, je me lance !
Après l'échec de ma première exposition du au refus de l'artiste, je vous présente les oeuvres d'un autre dessinateur, encore plus torride (vous n'y perdez donc rien !) :

Visitez l'exposition
Sorayama
Par Karine Kokine - Publié dans : Expositions
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Vendredi 25 mai 5 25 /05 /Mai 14:17
    Bonjour à tous ! Il y a quelque temps, je vous racontais mes retrouvailles inattendues avec un vieil ami, Alexandre. Ces retrouvailles m'ont fait revivre quelques uns des plus chauds moments de ma vie d'hétéro, c'était avant...

    Avec Christophe, on participait à une soirée chez des amis. Ce soir-là, il avait insisté pour que je porte une petite robe décolletée, très légère. Je ne m'en suis pas plainte, avec la chaleur qu'il faisait !
    C'était vraiment une soirée formidable, tout le monde y était et le vin coulait à flot. Alexandre et Pierre, un type que je ne connaissais pas, ont décidé d'aller se baigner dans le lac un peu plus loin. Christophe m'a demandé si je voulais me rafraîchir aussi. Je ne demandais que ça ! Ma robe collait à ma peau et laissait voir les moindres détails de mon corps tellement j'avais chaud. Les gars ont plongé en short, mais c'est là que j'ai pensé que je n'avais pas mon maillot... Je n'étais vêtue que d'un string et d'un soutient-gorge en dentelle blanche. Au diable, l'eau avait l'air trop bonne. On s'est baigné pendant une demi heure et on s'est amusé. Pierre a décidé de retourner à la fête, mais Alexandre et moi avons décidé de rester à l'eau.
    Christophe a insisté pour que j'aille enlever mes sous-vêtement afin de les faire sécher un peu avant de me rhabiller. D'où j'étais, je pu voir que Christophe commençait à bander en me voyant me mettre nue. Je suis retournée à l'eau en me dandinant un peu. Je suis allée l'embrasser en lui caressant les fesses. J'ai repensé que Alexandre était derrière, alors je me suis retournée pour l'inviter à se joindre à nous.
    Le petit coquin, il bandait lui aussi ! Salope comme je suis, je lui ai caressé la verge d'une main et celle de Christophe de l'autre. C'était bon de sentir deux hommes qui me désiraient. On est montés sur le quai afin de pouvoir être plus à l'Aise.
    Là, je me suis couchée sur le dos Christophe à genoux par dessus pour que je lui suce cette belle verge bien dure. Alexandre s'amusait à m'embrasser et me caresser les cuisses. Je sentais ma chatte se mouiller de plus en plus, j'avais envie qu'il me lèche. Quand il a écarté mes jambes, il a pu apercevoir ma sève qui coulait de mon vagin, ainsi que mon clitoris qui ressortait et qui était rouge d'envie.
    Il m'a léché le clitoris en le mordillant un peu. C'était bon, il me lapait la chatte entière et il a enfoncé un doigt dans mon petit trou. Je lâchais quelques râles, mais avec la grosse queue de Christophe dans la bouche, mes plaintes restaient sourdes. Je voulais lui procurer le plus de plaisir à lui aussi. Je promenais ma langue sur son gros gland rouge et le masturbais d'une main. L'autre main s'amusait avec ses couilles. Les gars ont changé de place, j'était plutôt contente, Christophe mange tellement bien ! Il m'a embrassé le clitoris et l'a léché tendrement. Après, il a introduit sa langue dans mon vagin et a bien léché l'entrée. Il a glissé un doigt dans mon anus pour l'humidifier en continuant à me manger.
    Je jouissais comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Je crois que Alexandre a aimé sa pipe, avec les "ah oui! continue" que j'entendais!
    J'ai repoussé les gars et je me suis allongée sur Alexandre en dirigeant sa queue en moi. J'ai commencée à me faire aller, je frottait ma vulve sur lui en même temps. Christophe nous a regardé un moment, puis s'est joint à nous. J'ai senti sa verge entrer dans mes fesses tranquillement. Quelle sensation, deux queues en moi, ce n'était pas la première fois, mais c'est toujours aussi bon ! Les gars suivaient le même rythme et se sont mis à accélérer, je ne pouvais plus me retenir, je me suis mise à crier ma jouissance, j'étais au septième ciel !
    Alexandre est venu en premier, mais Christophe voulait qu'on continue entre nous. Il m'a retourné et s'est mis à me pénétrer sauvagement, il me mordillait les seins en même temps. Tous les deux, on sentait l'orgasme monter. Il s'est retiré brusquement et a giclé partout sur moi, lâchant un gros soupir de jouissance tout en éjaculant. Son sperme chaud et épais m'aspergeait le corps et je jouissais à nouveau en accueillant sa semence généreuse...
    Puis on a replongé à l'eau pour se rafraîchir et on est retourné à la fête, je crois que Pierre se doutait de ce qui venait de se passer, car il nous a fait un petit clin d'oeil. Plus tard on a su qu'il nous avait regardés et qu'il s'était branlé un peu plus loin. Sincèrement, je dois avouer que j'aurais préféré qu'il reste et qu'il jouisse avec nous, afin de profiter également de son jus...
    Mais vous, qu'auriez-vous fait à ma place ? Ou bien qu'auriez-vous fait si vous aviez été présent(e) ? J'attends vos commentaires avec impatience...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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