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Blog coquin d'une coquine...

Vendredi 16 mars 5 16 /03 /Mars 07:52
    Suite à la proposition de Mademoiselle Yes d'écrire une histoire à plusieurs, voici une expérience que j'avais faite à l'époque de mon site (les blogs n'existaient pas encore) avec un certain Didier. Nous avions décidé d'échanger des emails en nous racontant une histoire que chacun complétait à sa façon. Voilà ce que cela a donné :

    Moi :

    Salut Didier !

    Avant tout, excuse-moi d'avoir tardé à te répondre, mais j'ai pris quelques jours de vacances à la montagne...
    Je voulais te dire que je trouve ton idée intéressante : nous allons écrire ensemble une belle et chaude histoire... mais s'il te plaît, essaie de faire attention à l'orthographe ! (Un conseil en passant : écris d'abord ton texte dans word, et utilise la correction automatique : F7) Je compte en effet, une fois notre histoire complète, la mettre sur mon site, sous forme de duo. En attendant, j'ai corrigé ton premier e-mail que je reprends ci-dessous.

    Didier :

    Par un bel après-midi d'été, je t'invite à venir avec moi faire une balade à cheval. Tous les deux, nous sommes partis pour une longue balade en forêt. Après quelques heures, nous faisons une pause dans une clairière à peine éclairée par le soleil qui nous avait gentiment caressés tout l'après-midi. Je me suis approché de toi, tout en passant une main dans ton dos, à peine, en t'effleurant la peau. Quelques frissons te font sursauter, ce qui me donne l'envie de t'enlacer tendrement. Ma bouche effleure tes lèvres si douces et sucrées, et mon désir monte très vite. Ta main sur ma cuisse remonte doucement vers mon sexe déjà gonflé de désir. Ma bouche t'embrasse dans le cou, puis descend doucement vers les pointes de tes seins qui pointent légèrement sous ton tee-shirt. Pris d'excitation, je te fais basculer dans l'herbe, pour me positionner au-dessus de toi. Mes mains te déshabillent de la tête aux pieds tandis que mes lèvres parcourent ton corps si brûlant de désir. Je m'attarde sur ton pubis pour mieux lécher avec tendresse ton bouton de rose que je fais gonfler petit à petit. Après quelques instants, je sens ta main sur mon sexe très gonflé d'envie de toi. Ta main fait sortir mon sexe et tu me fais quelques va-et-vient d'une sensualité exquise. Très doucement, je me suis retourné sur moi-même pour te rendre la pareille...

    Moi :

    Voilà pour la première partie. Très prometteuse ! Je dois t'avouer que je suis très excitée de poursuivre cette aventure qui commence si bien... Alors, voici la suite, à ma façon :

    Ces préliminaires m'ont complètement retourné la tête. Ta queue est si dure, si chaude entre mes doigts... Je la sens vibrer sous mes caresses. Sans cesser de te branler, je te sens te retourner et prendre possession de mon sexe. Ta main se pose timidement sur mon pubis, caresse doucement la fine toison (soigneusement épilée) qui le surplombe, et descend insensiblement vers ma grotte intime. Tes doigts s'attardent sur mon bouton d'amour qui gonfle sous ce contact si doux. Puis tu écartes doucement les lèvre de ma vulve, avant d'y introduire discrètement le bout de ton index. Tu sens immédiatement à quel point je suis excitée. Je mouille comme une folle ! Je te branle toujours, de plus en plus fort, et, n'y tenant plus, j'approche ta bite si dure, si grosse, de ma bouche.
    Comme si elle était indépendante de moi, ma langue jaillit pour aller au contact de ton gland gonflé, vibrant. Dans le même temps, ne voulant sans doute pas être en reste, ta bouche prend possession de ma chatte, tu poses la langue entre mes lèvres trempées et la fais aller et venir à l'orée de mon sexe ruisselant de plaisir. Soudain, je gobe ta queue qui m'emplit entièrement la gorge, et commence à te pomper avec amour. Mes mains te prennent les couilles qu'elles massent doucement, augmentant sensiblement ton excitation. Tu bandes si fort que je manque de m'étouffer.
    Pendant ce temps, tu n'a pas cessé de me lécher. Tu aspires mon clitoris entre tes lèvres, le titilles avec la pointe de tan langue, avant d'enfoncer celle-ci entre mes lèvres, comme pour me pénétrer au plus profond. Ooooh ! Comme c'est bon ! Comme si elles étaient indépendante de mon corps, mes hanches se soulèvent pour aller à la rencontre de ta bouche, comme pour faciliter la pénétration de ta langue au plus profond de moi....

    Et si tu me racontais la suite ? Il faut que j'arrête pour l'instant, je suis trop excitée d'avoir écrit pour toi ces quelque lignes, il faut que je me fasse jouir, en pensant à toi, bien sûr. J'attends ton prochain mail avec impatience...

    Didier :

    Ma langue n'en finit plus de faire des va-et-vient au coeur de ta chair, ton corps frétille de volupté. Moi aussi, je suis près de jouir tant le plaisir que tu me donnes est grand.
    Délicatement, je passe ma langue sur ton petit trou ; je le sens s'ouvrir comme une rose un matin de printemps. Ton corps tout entier réclame autre chose que mes caresses, alors je te fais rouler dans l'herbe et me positionne à la missionnaire pour un début tout en douceur. Mon gland vient au contact de tes lèvres, je m'introduis en douceur vers ton intimité et, par quelques va-et-vient, je te fais sursauter de plaisir. Ton excitation me donne envie d'aller plus loin pour te donner encore plus de plaisir.
    Etant au bord de l'éjaculation, je me retire pour me détendre un peu et je me remets à te lécher les lèvres ainsi que ton petit trou qui s'ouvre de plus en plus. Mon excitation est à son apogée, je me sens transporté avec toi vers un monde magique d'où je ne voudrais plus partir, tellement je suis aux anges avec toi. Mes mains parcourent ton corps, tu fermes les yeux et je te sens jouir pour la seconde fois (mon plus grand plaisir).
    Tu me demande de te prendre, plus farouchement, ce que je fais sans aucune retenue. Le va-et-vient que je fais te donne des frissons, tes petits cris de plaisir me rendent plus fort et je ne cesse de rentrer jusqu'au plus profond de toi. Tu es si chaude que mon sexe ne veux plus partir de toi.

    Je te laisse conter la suite de notre aventure. En espérant que tu as aimé la suite comme moi, mon excitation m'oblige à passer par une masturbation.
    Pour le prochain mail, décris-toi pour me donner encore plus envie de toi. Pour ma part, je suis châtain clair, yeux marrons, 1m90 assez sportif

    Moi :

    Rassure-toi, tout est réparé et nous allons pouvoir reprendre notre aventure...

    Je n'en peux plus... Tu m'as déjà fait jouir deux fois, et tu résiste toujours. Ta queue me remplit le ventre, je veux te sentir gicler en moi, mais tu semble décidé à retarder le plus possible ce moment.
    Déchaînée, excitée comme une folle, à quatre pattes, les coudes appuyés dans l'herbe, je tends mon cul vers toi. Tu me donnes des coups de plus en plus fort. Je n’arrête pas de gémir comme une folle. Tu me défonces. Tu n’arrêtes pas de me pénétrer sauvagement avec rythme. Ton pénis glisse à l’intérieur de moi facilement, je suis tellement humide. Tu sens mon jus autour de ta verge glisser sur tes testicules et sur tes cuisses. Quand je te sens au plus profond de mon vagin, je mets plus de pression pour que tu y restes un peu plus longtemps. Tu me tiens par les cuisses et tu me fourres avec une telle rage. Je sens que tu es enfin sur le point de venir. Tes coups deviennent désordonnés, ton souffle s'accélère bizarrement... Alors je t'encourage :
    - Viens ! Viens, maintenant !
    Et soudain ça y est : tu t'immobilise au fond de mon ventre en criant :
    - Aaah ! Oui ! Je jouis ! Tiens !!!!!
    Tu exploses littéralement en moi. Ton foutre chaud gicle au fond de mon vagin. Tu te retire rapidement de moi et finit d'éjaculer sur mon dos. Je me retourne pour prendre ta tige dans ma bouche et j'avale ton sperme avec délice tout en me branlant furieusement le bouton, et je jouis à mon tour, pour la troisième fois, avec ta queue au fond de ma gorge.
    Nous restons enlacés sur l'herbe à nous embrasser tendrement. Je sais que cela n'est pas fini, et que tu vas rapidement récupérer... D'ailleurs, ta queue reprend déjà du volume sous mes doigts...

    Je vais t'avouer une chose : tout en écrivant, j'ai imaginé la scène, et j'ai joui comme une folle. Je me suis encore une fois masturbée en t'écrivant ces lignes ! Quel plaisir pervers ! Continue cette histoire, s'il te plaît, et donne moi encore du bonheur...

   
Hélas, cette correspondance s'est arrêtée là... Dommage non ? Je vous embrasse tous et j'attends vos commentaire ;)
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Samedi 10 mars 6 10 /03 /Mars 14:26
      L'histoire qui suit n'est pas une histoire vécue : il s'agit d'un fantasme né d'un rêve que j'ai fait il y a quelques années, qui m'a tant troublée que c'est devenu un véritable obsession. Je vous la livre telle que mes souvenirs me la racontent souvent les jours où, seule, je la revis en me masturbant et qui, chaque fois me donne un orgasme incomparable :

      Tout débute dans une ville sombre. Je parcours les rues sous une pluie battante qui colle mes cheveux sur mon visage et mes vêtements sur mon corps, dessinant par transparence mes seins dont les pointes sont durcies par le froid. Je suis à la recherche d'un endroit où m'abriter et trouve enfin un bar ouvert dans lequel je m'engouffre.

      Au fond de la salle, un jeune homme me fixe du regard. Irrésistiblement, je m'approche de lui. Il me saisit le bras. Je suis fascinée. Il a à peine vingt ans, son regard est perçant. Il m'entraîne vers des ruelles pavées jusqu'à un hôtel glauque. Nous entrons et nous nous dirigeons vers le fond du couloir où il ouvre une porte et me pousse dans une chambre. Un lit de fer trône dans cette pièce dépouillée. Il me jette sur le matelas, arrache mes vêtements et attache mes poignets et mes chevilles aux barreaux après m'avoir largement écarté les bras et les cuisses. Puis il me bâillonne. D'une armoire, il sort un fouet avec lequel il me bat violemment et m'injuriant :
- Tiens, salope ! Traînée ! Tu as ce que tu mérites !

      Puis il se déshabille. Son sexe est dressé, énorme. Il grimpe sur moi et me pénètre brusquement. Je sens à peine sa queue me remplir dans mon con noyé par la mouillure. Il ne tarde pas à éjaculer sans se soucier de me faire jouir, et je sens couler son jus épais et chaud le long de mes cuisses ouvertes. Puis il quitte la chambre en me laissant attachée...

      Plus tard, une femme sans âge entre. Elle renifle ma chatte, y introduit un doigt, puis deux, puis la main entière. Sa langue titille mon clitoris, elle me lèche avec application, s'insinuant dans mon vagin et mon anus. Une vague de contractions m'emporte. Je jouis rapidement...

      Les jours passent. On me nourrit chichement. Régulièrement, des hommes viennent, me violent à leur gré et repartent sans que je ne dise mot. Chaque fois, ils m'abandonnent avant que j'atteigne l'orgasme. On m'interdit de jouir, et pourtant, j'espére chaque fois que cela vienne. En vain. J'en suis parvenue au point d'espérer mon prochain violeur avant que celui qui me baise encore n'ait fini. J'ai l'impression d'être remplie de leur sperme qui me dégouline de la chatte...

      Un homme âgé vient. Sans se dévêtir, il caresse mon corps offert, s'attardant sur mes seins, les soupesant délicatement, pinçant les pointes qui ne tardent pas à durcir. Puis il me léche avec application, me masse le clitoris, s'interrompt pour ramener de la glaire sur ce dernier, enfonçant sa langue au plus profond. Je soupire et, enfin, il baisse son pantalon. Il promene son gland gonflé entre les lèvres de mon sexe avant de s'y enfoncer. Je sens mon corps vibrer. Un roulis de spasme déferle, annonciateur de l'orgasme tant espéré. Mais l'homme se contracte brusquement avant de décharger sur mon ventre, puis s'écroule sur moi, terrassé par une crise cardiaque. Je me mets à hurler de terreur et quelques minutes plus tard, deux hommes viennent me débarrasser du cadavre...

      Bientôt, les visites s'accélèrent. Des sexes à peine palpés éjaculent dans tous mes orifices. On me baise, on m'encule, on me forçe à sucer des bites de toutes tailles. Les relents de sueur, de foutre, de baise écoeureraient la dernière des putains. Moi, je me suis habituée à cet atmosphère et me gorge de ces liqueurs organiques. Je suis devenue un objet de plaisir, une poupée inanimée offerte au plaisir de qui le veut...

      Mon dernier client porte un masque cachant son visage, ne laissant échapper que sa barbe fournie et des cheveux frisés. Son corps nu est recouvert d'une toison abondante couvrant le torse, les épaules, le dos et les jambes. Après m'avoir longuement caressée, il s'enfonçe en moi et me lime longuement. Puis il sort sa queue de mon sexe, se masturbe doucement et éjacule sur mon corps. Il me macule avec le foutre, l'étale sur mes seins, mon ventre. De nouveau, l'excitation monte de mes entrailles. Est-ce enfin le moment ? Vais-je enfin jouir ? Il se saisit d'un couteau, tranche les liens qui maintiennent mes poignets et me tend l'arme, désignant son sexe. Ne comprenant pas ce qu'il veut, je le fixe d'un regard interrogateur. Il arrache alors le masque, dévoilant un visage entièrement détruit par le feu. Comprenant son malheur, j'attrape le sexe par la base, juste sous les testicules. Il se met à bander de nouveau devant la menace. Sa queue est devenue raide comme une barre de fer et je la tranche d'un coup. Il s'effondre sur le sol en d'horribles convulsions, râle et s'immobilise enfin. Je m'enfonce alors son sexe encore dur au fond de la chatte, comme s'il s'agissait d'un gode. Et enfin, je jouis. L'orgasme tant attendu m'emporte comme un ouragan, explosant du plus profond de mes entrailles pour emporter tout mon corps. Prise de convulsions, je hurle en tremblant de tous mes membres. Au plus fort de la jouissance, je dresse au dessus de moi le couteau de mon dernier amant et le plante au milieu de ma poitrine...
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Jeudi 8 mars 4 08 /03 /Mars 10:39
J'ai déniché la version pornographique non censurée du clip plus que torride de Benny Benassi : Satisfaction. Attention les yeux, c'est chaud bouillant !
Par Karine Kokine - Publié dans : Vidéo
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Mercredi 7 mars 3 07 /03 /Mars 11:34
    Cet après-midi là, j'étais seule à la maison et je pensais à Christophe. Il était chez ses parents dans le sud, et je m'ennuyais. Il me prit l'envie de l'appeler, car il m'avait donné le numéro de téléphone où je pouvais le joindre. Je pris donc le combiné et composais le numéro. On décrocha au bout de quatre sonneries, une voix que je connaissais très bien et qui était comme une musique divine dans mes oreilles car c'était lui qui avait décroché...
      - Salut ma chérie. C'est moi. Je m'ennuyais de toi alors...
      - Je savais bien que tu m'appelerais. Que fais tu ?
      - Je griffonne dans mon bureau...
      - J'aimerais faire l'amour avec toi, maintenant...
      - Moi aussi. Tu me manques tellement...
      - J'ai envie de ta queue ! J'ai envie de la prendre dans ma bouche !
      - Je l'ai sortie de mon slip. Elle est déjà grosse pour toi !
      - Je pose mes lèvres sur ton gland ! Je l'enveloppe et je le lèche...
      - Je commence à me branler en pensant à ta bouche...
      - Je promène ma langue sur toute ta queue.
      - Ta bouche me plaît. Je me caresse lentement. Et toi ?
      - J'ai mis un doigt dans ma chatte. Je me branle et je te suce...
      - Oui, ta chatte est bonne, juteuse, délicieuse... Je te lèche le bouton.
      - Je me caresse en pensant à ta queue.
      - J'ai envie de l'enfiler dans ton con, et de te remplir de mon sperme.
      - Pour l'instant, je vais te sucer. Je prends ta queue entière dans ma bouche. Ma langue te tète au fond de ma gorge.
      - Oh oui... c'est bon...
      - Tu me sens bien ?
      - Oui, plus que ça. Je me caresse les couilles. Elles sont pleines de foutre, pour toi...
      - Tu vas me le donner...
      - Oui, dans ta bouche. Je vais te remplir la bouche.
      - Oui, donne-le moi, j'ai envie de te boire.
      - Moi aussi ! Ton jus coule de ta chatte. Je te sens très fort... Ta bouche, ton ventre, tes doigts... Et je me branle...
      - Je me caresse aussi, et je te lèche, du gland jusqu'aux couilles...
      - Tu te souviens quand tu m'as sucé en me mettant un doigt dans le cul... C'était très fort.
      - Oui, et ce soir, j'aimerais encore t'enculer en te suçant !
      - Ca me plairait ! Un peu de jus coule sur mon gland... Ca brille.
      - Ne vas pas trop vite !
      - J'aimerais moi aussi te mettre un doigt dans le cul...
      - Oui, mets-moi un doigt dans le cul avec ta grosse queue dans ma chatte !
      - Tu la fais encore grossir !
      - J'enveloppe ton gland avec ma langue, je le lèche... C'est bon ?
      - Oui c'est bon, trop bon. Tu continues à te caresser ?
      - Oui... et tu vas me faire jouir...
      - Ne va pas trop vite !
      - Branle-toi ! Branle bien ta queue que je suce...
      - Je me suis allongé par terre. Tu pourrais venir t'empaler sur ma tige.
      - Oui, j'enfile mon con sur ta queue ! Je l'engouffre complètement...
      - Chevauche-moi ! Baise-moi comme ça ! Tu aimes ?
      - Oui.. Oh oui, j'aime ! Ta queue me remplit ! Je vais... Je ... OOOOOhh !
      A cet instant, je jouis violemment. De longs soupirs accompagnent mon orgasme.
      - Oh ! Tu m'as fait jouir ! Tu as entendu comme j'ai joui ? Et toi, tu n'as pas joui ?
      - Pas encore, je voulais t'entendre jouir. Si j'avais joui en même temps, je n'aurais pas entendu aussi bien tes soupirs. Maintenant je suis prêt.
      - Oui, fais-toi jouir ! Je te suce, et tu vas jouir dans ma bouche. Vas-y ! Jute pour moi !
      - Oui... Ca y est... Je jouis !
      J'imaginais les longs jets de foutre giclant de sa queue tendue et retombant en chandelle sur son ventre. Mes doigts couverts de foutre continuant de branler sa queue dans les derniers spasmes.
      - C'était bon ! tu as aimé ?
      - J'ai joui comme un fou ! Je suis plein de sperme !
      Nous avons encore discuté un moment de choses plus sérieuses, puis nous avons raccroché à regret pour ne pas effacer ces paroles qui nous avaient donné tant de plaisir...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 15:18
            Christophe et moi avions réservé une table dans un bateau-restaurant flottant au milieu d’un magnifique lac de la région. Nous avions commandé une baby sitter pour garder notre fils durant toute la soirée. C’était, comme d’habitude, une jeune fille du lycée de la ville. Ce soir-là, Alexia était la seule disponible. Nous n’étions plus sortis depuis longtemps et en vérité Christophe m’avait caché qu’il allait s’agir en fait d’une sorte de petite croisière: sur place nous nous attendions à rencontrer des couples aussi sympathiques que le nôtre car nous avions en nous depuis fort longtemps le désir secret de vivre l’expérience de l’échangisme. Cette petite croisière, organisée par un club de nuit, était pour nous l’occasion à ne pas rater.

            Pour l’occasion, il m’avait offert des dessous affriolants, aussi sexy et osés que ceux vendus dans les sex-shops. La jupe, tout en latex rouge, recouvrait à peine mon intimité. Je veux dire par là qu’elle était vraiment très courte, au ras du sexe, épilé pour l’occasion. Pour une fois, Christophe m’avait conseillé de ne pas porter de culotte. Un petit corsage blanc retenait difficilement mes seins qui pointaient, supportés par un minuscule soutien-gorge. J'allais sûrement affoler les hommes qui me regarderaient. Tous, j’en étais certaine, n’auraient plus qu’une idée en tête : me bourrer ! Sortant de la salle de bain, une fois prête, je me dandinais un peu devant Christophe, ce qui le fit bander très dur.

            J’étais très excitée de l’avoir mis dans cet état. Il commençait à me peloter. Je protestait que la baby-sitter allait arriver d’un instant à l’autre, mais il ne voulait rien entendre : il voulait me baiser tout de suite ! En fait, je voulais avoir sa grosse bite dans ma bouche, mais plus tard, sur la croisière. J’insistais dans mon refus et il se calma un peu. Nous étions à la porte du garage quand une voiture déboucha dans l’allée. La portière s’ouvrit côté chauffeur et quelqu’un vint vers nous. C’était un voisin qui habitait un peu plus bas. Quand il me vit, il restât bouche bée. Il ne m’avait jamais vue vêtue de cette façon. Je ressentis une sorte de gêne, personne ne m’avait déjà vu habillée comme ça. Tout le monde l’appelait Bob. Je lui souriais et lui demandais ce que je pouvais faire pour lui. Il me répondit avec un grand sourire et tout en me regardant qu’il préférait ne pas me dire comment je pourrais lui être utile. Il me complimentait sur ma tenue tout en regrettant que sa femme n’ait pas un look aussi sexy. Je le remerciais du compliment, mais lui expliquais que je devais partir tout de suite. Il resta un moment silencieux, en ne cessant de me dévorer des yeux.

            Je montais dans ma voiture et rougis aussitôt quand je compris que, dans le mouvement, j'avais involontairement offert à Bob une vue imprenable sur mon minou tout lisse. Je fermais la portière et descendis la vitre tandis que Bob s’approchait plus près. Il était debout devant moi, mon visage était à hauteur de sa braguette. Je ne voyais pas son visage mais je savais ce qu’il regardait. Le haut de son pantalon, devant moi, commençait à se gonfler. Mes seins, serrés dans le corsage, débordaient presque du soutien gorge. Mes mamelons étaient durs et visibles. Je sortis la tête au dehors. Il recula un peu. Je lui dis que je devais réellement y aller. Il me salua et se dirigea précipitamment vers son véhicule. J’étais persuadée qu’il allait se masturber en pensant à moi, et cela m'excita beaucoup...

            Alexia arriva à 19h15. Elle siffla en remarquant ma tenue et m’avoua qu’elle me trouvait terriblement excitante. Ce compliment, venant d’une jeune fille de 18 ans, me rendit toute fière en m'excita encore un peu plus. Elle me demanda comment Christophe me trouvait ainsi. Je lui dis alors comment il avait eu envie de me violer un peu plus tôt dans la maison. Elle émit un petit gloussement tout en rougissant. Alexia était une fille très libérée. Nous parlions comme de vieilles amies. Ainsi, elle me faisait facilement des confidences sur ses aventures avec ses petits amis et il n’était pas rare que l'on parle de sexe. Ce soir là, il me semblait que ma tenue lui avait donné certaines idées. Je lui donnais les instructions pour la nuit : la télévision pour notre fils, l’heure à laquelle elle devait le coucher, etc., et je pris le volant.

            Nous roulions depuis un bon moment, mais la circulation en plein week-end était très difficile. A quelques kilomètres du lac, l’intensité de nos phares baissa exagérément, et la batterie nous lâcha, si bien que nous dûmes pousser la voiture sur le bas-côté de la route. Un dépanneur, qui passait au même moment, avertit sa station et voulut bien nous aider. Christophe et lui bricolèrent quelques temps sous le capot et au bout de 10 minutes la voiture redémarra. Déjà nous savions que le bateau ne nous avait pas attendu. Nous avons remercié le mécanicien après l’avoir payé. Avec Christophe nous décidâmes de retourner vers la maison après cet incident.

            Dans le couloir, j'entendis des bruits étranges venir de la chambre. J’entendais les gémissements de plusieurs personnes. Il était certain que ces bruits provenaient de personnes faisant l’amour. Plus curieuse qu’effrayée, je me dirigeais à pas lent vers la porte. Je ne savais pas si je devais continuer où retourner vers la cuisine. J’imaginais déjà Alexia se faisant bourrer par un de ces jeunes garçons qui lui tournaient autour et je l'imaginais en train de pomper une jeune petite bite. Je retournais vers la cuisine où je racontais tout à Christophe. Nous avons alors pensé qu’il serait amusant de nous diriger doucement vers eux pour en savoir plus.

            Une fois prés de la chambre, il nous semblait entendre le petit ami lui dire plein de mots cochons. Nous pouvions l’entendre gémir à travers le mur. La voix qu’on entendait était celle d’une autre fille. Christophe m’adressa un petit sourire et poussa doucement la porte: notre petite baby-sitter regardait tout simplement une de nos cassettes vidéos personnelles. En effet, Christophe, au cours de certaines de nos soirées chaudes, prend sa caméra. Alexia était assise sur le parquet, son short et son slip à côté d’elle. Jambes écartées, elle regardait attentivement la vidéo, une main glissée dans son entrejambe, frottant furieusement son petit minou.

            Sur l’écran, on pouvait voir ma soeur, Gina, comme une vraie chienne, se faire défoncer par Christophe, tandis que le petit ami de celle-ci, un noir, me clouait sur le plancher avec sa grosse bite dans la chatte. Avec Christophe, stupéfaits, debout prés de la porte, on ne savait que faire. Alexia n’allait-elle pas raconter à tout le quartier nos aventures filmées ? Nous avons alors décidé d'entrer dans la chambre. Alexia avait deux doigts dans le minou et elle les portait souvent à sa bouche. Elle ne remarqua pas notre présence, concentrée sur sa masturbation. Christophe commença à me pétrir les seins, excité par le spectacle de l'adolescente. Il avait dégraffé mon corsage et sortait mes seins. Je sentais sa bite toute raide à travers son pantalon.

            Au moment où Christophe sortit sa queue et releva ma jupe, Alexia se retourna, surprise, et dit :
            - Oh, mon Dieu !
            Sans se défaire, Christophe continua à relever ma jupe, me fit écarter les jambes et m'encula aussi sec, sous les yeux effarés de la baby-sitter. Cette dernière restait pétrifiée, n'osant dire un seul mot, les yeux fixés sur notre couple lubrique. Fou d'excitation de me fourrer ainsi devant la jouvencelle émerveillée, Christophe jouit très vite. Au moment où il déchargea dans mon cul, il hurla :
            - Ah, putain ! C'est bon ! Tiens... !
            Puis il se retira. Alexia se mit à parler :
            - Excusez-moi, dit- elle, Je suis désolée... Je ne pensais pas...

            Elle était réellement troublée. Elle s’approcha de moi et se mit à pleurer. Je sentais son jeune corps tout chaud, ses seins ronds et fermes sur ma poitrine. Comme elle m'enlaçait de ses bras, ses doigts rencontrèrent quelques gouttes de sperme restées sur ma jupe. Je lui conseillais de remettre ses vêtements, mais pour toute réponse elle remonta ma jupe et me caressa les fesses. Elle me regarda droit dans les yeux. Je lui dis alors :
            - Tu aimerais que Christophe te bourre, toi aussi ?
            Christophe me regarda avec plein de complicité.
            - T'aimerais ça, dis ? Il te baisera comme sur la vidéo, tu veux ?
            - Je ne sais pas... Je...
            Sans attendre la réponse, je la fis se mettre à quatre pattes, le cul bien dressé. De mes doigts, j'ai fouillé dans sa chatte encore trempée de la branlette et de l'excitation causée par la sodomie dont elle avait été la spectatrice privilégiée, et lui étalais sa mouille partout entre les fesses et à l'orée du petit trou. Christophe bandait déjà, aussi dur que tout à l'heure. Il prit sa bite à pleine main et la dirigea vers la bouche de la baby-sitter. Il me sembla qu’elle l’avalait presque entièrement. Elle le suçait comme une vraie pute. Cette fille avait dû bien regarder nos cassettes !
            Comme elle le réclamait dans sa chatte, Christophe se retira et approcha sa bite de la vulve péparée. Lentement, il la pénétra avec précaution. Alexia gémissait de plaisir et demandait à Christophe de la bourrer plus fort, plus profondément, ce qu’il fit sans se faire prier. Je m'étais reculée pour mieux les observer et je me branlais frénétiquement. Au bout de quelques minutes, elle se tordait dans tous les sens, jouissant comme une malade. Christophe, excité comme jamais, criait qu’il allait arriver.
            - Ahh ! Je vais jouiiir !
            - Nooon ! criait Alexia. Attends ! Je veux tout dans la bouche !
            Elle avait vu ma soeur Gina sur l’écran, pomper et avaler le foutre de Christophe, et elle voulait en faire autant. Elle se dégagea et se retourna, prenant la queue prête à éclater entre ses doigts.
            - Tiens, p'tite pute ! Tu veux mon foutre ? Alors Tiens !!!
            Aussitôt, des jets de sperme lui éclaboussèrent le visage. Elle fermait les yeux et branlait mon mec qui n'arrêtait plus de gicler. Elle frottait la queue sur sa figure, étalant le foutre avec le gland de Christophe, puis le prit dans sa bouche et avala les dernières giclées. Je jouis à mon tour, les doigts poisseux enfoncés dans la chatte, tandis qu'à l’écran de la télévision restée allumée, on me voyait, en gros plan, me faire prendre des deux côtés par mon beau frère et Christophe, pendant que Gina tenait la caméra...

            Christophe a raccompagné Alexia. Il est rentré deux heures plus tard. Il savait que je l'attendais.
            - Ahh ! Je l'ai baisée comme une chienne. Je lui en ai mis plein son p'tit cul ! Tu veux voir ça ?
            Il sortit de sa poche le camescope qu'il avait discrètement emmené avec lui. A l'écran, on voyait Alexia, baissée sur la braguette de Christophe et lui sortir la queue. Il bandait à nouveau...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Lundi 5 mars 1 05 /03 /Mars 10:17
Après avoir vu ma vidéo, ma chérie a voulu que je la filme elle aussi, alors je vous l'offre : admirez l'art et la technique d'Amandine pour se faire plaisir avec un vibromasseur...
Par Karine Kokine - Publié dans : Vidéo
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Jeudi 1 mars 4 01 /03 /Mars 10:27
Lundi soir... Mon buisson d'amour est devenu vraiment trop fourni. Je vais me raser. J'aime avoir un pubis bien net. Aujourd'hui, ce sera rasage intégral... Heureusement, je peux compter sur Amandine pour appaiser le feu de la lame :

Par Karine Kokine - Publié dans : Vidéo
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 15:54
    Un jour, il y a quelques années, Christophe m'avait amenée dans un vaste appartement dont il avait les clés. Il m'avait dit qu'il allait me présenter à un ami très intéressant qui me plairait sans doute beaucoup. L'intérieur était aménagé en atelier d'artiste, avec un toit vitré. Un jeune homme était étendu sur un divan, écoutant une musique que j'ai reconnue : Léonard Cohen... Je sentis une odeur curieuse, agréable d'ailleurs, que j'avais déjà quelquefois respiré, pareille à celle du foin séché, mais plus lourde, comme mêlée d'encens...
    Le jeune homme se leva pour nous accueillir ; il était vêtu d'une robe mauritanienne très ample, teinte à l'indigo et brodée de blanc. Il avait les cheveux bruns, d'étranges yeux gris-vert. Il me regardait avec admiration.
    - Je te présente Grégory, dit Christophe. Et à celui-ci : Voici Karine, elle est belle, n'est-ce pas ?
    Il fit jaillir mes seins hors de la robe, les caressa pour que les pointes jaillissent plus encore. Il ajouta :
    - Je te la prête, si tu veux, elle est d'accord.
    Grégory s'approcha, commença à caresser la peau rose de l'aréole, Christophe défit l'agrafe. Ils me déshabillèrent ensemble, et debout au milieu de la grande pièce, je fermais les yeux de plaisir sous les caresses simultanées de ces quatre mains, de ces deux bouches. Je ne savais plus lequel me mordait la nuque, lequel baisait mon sexe...
    Ils me portèrent sur un lit très bas, très vaste, et j'eus un peu mal quand Christophe s'enfonça dans mes reins. Jamais il ne m'avait enculée si brutalement, mais le plaisir remplaça très vite la douleur. Sa queue me fouillait, ses couilles battaient contre mes fesses, alors que Grégory admirait le spectacle en tenant son sexe bandé d'une main velue, se branlant doucement, lentement.
    Ils recommencèrent à me caresser et je me détendais. Grégory me pénétra à son tour, pénétrant ma chatte trempée d'excitation, alors que le sexe de Christophe emplissait mon anus. Je sentais les deux queues me fouiller, butant parfois l'une contre l'autre à l'intérieur de mon ventre, séparée par une fine cloison de chair...
    Ils me firent longuement l'amour, tous les deux, le plaisir que chacun donnait se fondait en un seul plaisir, notre plaisir,  et je sentis les deux hommes jouir, non seulement d'être en moi, mais aussi de se toucher à travers moi. Je jouis avec eux de sentir leur semence me remplir des deux côtés, et j'étais heureuse de leur donner cet orgasme, cette jouissance, et d'être ainsi doublement pénétrée, doublement offerte...
Par Karine Kokine - Publié dans : Souvenirs
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Mercredi 28 février 3 28 /02 /Fév 14:32
    Voilà un mois que J'ai ouvert ce blog. Un mois que je partage avec vous mes souvenirs d'hier, mes émotions d'aujourd'hui, et je tenais à vous remercier...
    D'abord de me rendre visite, ensuite de me laisser vos commentaires. Je les adore car ils me permettent d'aller voir ce que vous faîtes de votre côté et d'intégrer ainsi un "cercle" d'amis... Car j'espère être devenue votre amie.
    Je compte donc continuer ainsi longtemps encore, aussi longtemps que j'aurais de belles choses à vous raconter, à vous montrer, à vous faire partager...
    Merci encore. Je vous aime.
    Votre Karine Kokine.
Par Karine Kokine - Publié dans : krinxxx
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Mardi 27 février 2 27 /02 /Fév 10:34

A ceux qui ont essayé mon logiciel de messagerie préféré IMVU : J'ai expérimenté hier matin un chat à trois... C'était chaud ! je vous laisse admirer ces deux clichés pris lors de ce chat pour que vous vous fassiez une idée :

 



Pas encore convaincu(e), venez tester en suivant le lien suivant :
IMVU - The World's Greatest 3D Chat
Par Karine Kokine - Publié dans : imvu
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  • : Les coquineries de Karine, bisexuelle
  • Les coquineries de Karine, bisexuelle
  • : Divers
  • : Alors, petit coquin ou tendre coquine ? Tu es prêt(e) à vivre avec moi de torrides aventures ? Tu ne seras pas déçu(e) ! Ma vie sexuelle est si variée... Alors si tu es prêt(e), entre dans mon univers...
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